« Le but de cette opération est de s’entraîner ensemble, en tant que force multinationale, pour améliorer la coopération et lutter contre le terrorisme et les idéologies violentes », a déclaré l’ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal, James Zumwalt, lors du lancement de l’exercice. « Il n’y a pas de place pour une idéologie de haine tant au Sénégal que partout ailleurs en Afrique », a-t-il ajouté.
Selon Africom, le commandement militaire américain, cette année, près de 1700 membres des forces spéciales des Etats participants, dont la France et la Grande Bretagne, sont engagés dans cet exercice qui prendra fin le 29 février. Du côté de l’Afrique, les militaires burkinabè, mauritaniens, nigériens et nigérians ont assisté à la cérémonie de lancement. C’était en présence du chef d’état-major des armées du Sénégal, le général Amadou Kane, du commandant des opérations spéciales américaines en Afrique, le général Donald Bolduc.
Partant du fait que le Sénégal accueille Flintlock pour la troisième fois, le diplomate américain a souligné qu’il s’agissait là d’un avertissement aux extrémistes violents qui ambitionnent de transformer certains pays africains en foyers de tensions.
Depuis l’attentat du 15 janvier à Ouagadougou, au Burkina Faso, qui avait fait 30 morts, en majorité des étrangers, les autorités sénégalaises dont le pays est jusqu’à présent épargné par les attaques djihadistes frappant les pays voisins, ont renforcé la sécurité dans les lieux publics comme les hôtels, aéroports, marchés ou dans les alentours des administrations.
Selon Africom, le commandement militaire américain, cette année, près de 1700 membres des forces spéciales des Etats participants, dont la France et la Grande Bretagne, sont engagés dans cet exercice qui prendra fin le 29 février. Du côté de l’Afrique, les militaires burkinabè, mauritaniens, nigériens et nigérians ont assisté à la cérémonie de lancement. C’était en présence du chef d’état-major des armées du Sénégal, le général Amadou Kane, du commandant des opérations spéciales américaines en Afrique, le général Donald Bolduc.
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