Entre le jeune Macron, "bébé Hollande" chouchou du président et le fidèle de toujours Michel Sapin, les relations sont loin d'être au beau fixe... Parmi les reproches faits au jeune ministre à la gueule d'ange, celui de « faire le coucou », en bref de s'occuper de ce qui ne le regardait pas, et d d’être trop bavard…. Interrogé sur j télé sur les récentes déclarations d’Emmanuel Macron sur le statut fonctionnaires ou les 35 heures, qui ont fait couler beaucoup d'encre et suscité la colère a gauche. , à commencer par Martine Aubry , Michel Sapin a estimé que le ministre de l'Économie a donné son avis sur les sorties de Macron. Et s'il a admis qu'il disait «beaucoup de choses intelligentes, intéressantes", il a aussitôt nuancé en ajoutant qu'il devait aussi tenir compte des positions du gouvernement. "Quand on est journaliste, quand on est un intellectuel, quand on est un citoyen, on est totalement libre de sa parole. Pas quand on est ministre, parce qu'alors on n'est pas tout seul, on est avec les autres, on agit ensemble. Je crois qu'il l'a parfaitement compris", a dit Michel Sapin.
Une remarque qui n'est pas sans rappeler celle d'un autre ministre 30 ans plus tôt. «Un ministre, ça ferme sa gueule. Et si ça veut l'ouvrir, ça démissionne", disait Jean-Pierre Chevènement en 83. Trente ans plus tard, la règle prévaut toujours... Mais Macron semble ne pas y prêter attention.
Malgré plusieurs recadrages en règle du Premier ministre Manuel Valls et du président qui l'a appelé pour le réprimander, Emmanuel Macron a assuré lors d'un colloque organisé fin septembre par le journal Le Monde qu'il entendait continuer de nourrir le « débat » sur de nombreux sujets. Autrement dit, je continuerai à ouvrir ma bouche...
Source:closermag.fr
Une remarque qui n'est pas sans rappeler celle d'un autre ministre 30 ans plus tôt. «Un ministre, ça ferme sa gueule. Et si ça veut l'ouvrir, ça démissionne", disait Jean-Pierre Chevènement en 83. Trente ans plus tard, la règle prévaut toujours... Mais Macron semble ne pas y prêter attention.
Malgré plusieurs recadrages en règle du Premier ministre Manuel Valls et du président qui l'a appelé pour le réprimander, Emmanuel Macron a assuré lors d'un colloque organisé fin septembre par le journal Le Monde qu'il entendait continuer de nourrir le « débat » sur de nombreux sujets. Autrement dit, je continuerai à ouvrir ma bouche...
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