« Le Mali vacille mais ne bascule pas ! » scandent des jeunes drapés dans les couleurs du pays pour un hommage aux victimes et aux blessés de l'attentat-suicide qui a frappé la ville de Gao, le 18 janvier 2017.
La quasi-totalité des partis politiques avait appelé à un rassemblement citoyen devant le monument de la Paix à Bamako. Ils sont plusieurs centaines à avoir répondu présents. Parmi eux, Abderamane Touré qui affirme que toutes les victimes étaient là pour la même cause : l'unité du Mali.
Un rassemblement sous très haute sécurité, au vu des personnalités présentes. Plusieurs dizaines de policiers ont encadré la manifestation.
Ex-rebelles, combattants de la Plateforme, ou soldats maliens, « ils ont tous été touchés au même niveau », renchérit Karim Keïta, président de la Commission défense et sécurité. Le fils du président malien qui était à Gao pour les funérailles de ceux tombés lors de cet attentat parle de « 53 corps » et non pas 77 comme indiqué par l'état-major français. Querelle de chiffres sans que l'on ne puisse véritablement y trouver une raison, tant le bilan est lourd.
C'est vraiment l'accord de paix qui est touché, sans aucune distinction. C'est ce sur quoi il faut qu'on se focalise maintenant pour dire qu'aujourd'hui nous avons [un objectif] commun à tous, c'est la lutte contre le terrorisme. Et il faut que toutes les parties jouent leur partition.
La quasi-totalité des partis politiques avait appelé à un rassemblement citoyen devant le monument de la Paix à Bamako. Ils sont plusieurs centaines à avoir répondu présents. Parmi eux, Abderamane Touré qui affirme que toutes les victimes étaient là pour la même cause : l'unité du Mali.
Un rassemblement sous très haute sécurité, au vu des personnalités présentes. Plusieurs dizaines de policiers ont encadré la manifestation.
Ex-rebelles, combattants de la Plateforme, ou soldats maliens, « ils ont tous été touchés au même niveau », renchérit Karim Keïta, président de la Commission défense et sécurité. Le fils du président malien qui était à Gao pour les funérailles de ceux tombés lors de cet attentat parle de « 53 corps » et non pas 77 comme indiqué par l'état-major français. Querelle de chiffres sans que l'on ne puisse véritablement y trouver une raison, tant le bilan est lourd.
C'est vraiment l'accord de paix qui est touché, sans aucune distinction. C'est ce sur quoi il faut qu'on se focalise maintenant pour dire qu'aujourd'hui nous avons [un objectif] commun à tous, c'est la lutte contre le terrorisme. Et il faut que toutes les parties jouent leur partition.
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