« Avec plus de 1000 milliards de francs Cfa, les émigrés constituent les premiers investisseurs au Sénégal. Soit deux fois plus que l’aide au développement et quatre fois plus que les investissements étrangers». Ces propos sont de Mamadou Diop Decroix qui se prononçait sur la migration clandestine et sa gestion par le gouvernement.
«Tout le monde sait que notre pays est un grand contributeur en matière de migration clandestine », a-t-il affirmé. Et de poursuivre : «Le gouvernement n’arrive toujours pas à nous édifier sur la présence ou non de ressortissants Sénégalais. En effet, tandis que certains secteurs du pouvoir continuent de tergiverser et même de nier l’existence de Sénégalais parmi les victimes, on nous apprend ailleurs qu’à Maka Koulibantang, treize familles, ont célébré le deuil de treize de leurs enfants».
Selon Decroix il faut que le gouvernement arrive à s’accorder pour distiller la bonne information. Et dans le cas échéant, il faut se poser la question à savoir s’il est capable de gérer ce dossier. Et Decroix d’y répondre : Soit ils n’ont pas les moyens de savoir ce qui se passe, soit ils refusent de nous dire la vérité ». Ce qui pousse le coordonnateur du Fpdr à affirmer que «la politique de transparence tant prônée n’est pas respectée par le gouvernement».
«Tout le monde sait que notre pays est un grand contributeur en matière de migration clandestine », a-t-il affirmé. Et de poursuivre : «Le gouvernement n’arrive toujours pas à nous édifier sur la présence ou non de ressortissants Sénégalais. En effet, tandis que certains secteurs du pouvoir continuent de tergiverser et même de nier l’existence de Sénégalais parmi les victimes, on nous apprend ailleurs qu’à Maka Koulibantang, treize familles, ont célébré le deuil de treize de leurs enfants».
Selon Decroix il faut que le gouvernement arrive à s’accorder pour distiller la bonne information. Et dans le cas échéant, il faut se poser la question à savoir s’il est capable de gérer ce dossier. Et Decroix d’y répondre : Soit ils n’ont pas les moyens de savoir ce qui se passe, soit ils refusent de nous dire la vérité ». Ce qui pousse le coordonnateur du Fpdr à affirmer que «la politique de transparence tant prônée n’est pas respectée par le gouvernement».
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