Juin 2007. Dans la foulée de la Draft qui vient d’envoyer Joakim Noah chez les Bulls, Rick Morrissey, un journaliste du Chicago Tribune, rédige une critique vive et amère du pivot français. Ce dernier vient de rafler deux titres NCAA (championnat universitaire américain) avec les Gators de Florida, mais reste un joueur un peu rustre aux mouvements offensifs plutôt limités. Il est convaincu que le joueur "ne deviendra jamais utile" en NBA, et le fait savoir. Il est tellement sûr de lui qu’il annonce que si Noah lui prouve le contraire, il mangera son article.
Novembre 2009. Après une transition compliquée vers le haut niveau, Noah commence à dominer les raquettes NBA. Son énergie, ses qualités défensives, sa polyvalence font de lui un titulaire presque indiscutable. Le Français n’a pas oublié la promesse du journaliste. Il invite Morrissey dans les couloirs du United Center et le filme en train de déguster son article avec un peu de sauce salsa. Le détracteur grimace gentiment, l’autre est hilare, les bras levés. Ce n’est ni la première, ni la dernière fois que Noah encaissera des critiques faciles. Et qu’il leur tordra le cou.
Juin 2007. Dans la foulée de la Draft qui vient d’envoyer Joakim Noah chez les Bulls, Rick Morrissey, un journaliste du Chicago Tribune, rédige une critique vive et amère du pivot français. Ce dernier vient de rafler deux titres NCAA (championnat universitaire américain) avec les Gators de Florida, mais reste un joueur un peu rustre aux mouvements offensifs plutôt limités. Il est convaincu que le joueur "ne deviendra jamais utile" en NBA, et le fait savoir. Il est tellement sûr de lui qu’il annonce que si Noah lui prouve le contraire, il mangera son article.
Novembre 2009. Après une transition compliquée vers le haut niveau, Noah commence à dominer les raquettes NBA. Son énergie, ses qualités défensives, sa polyvalence font de lui un titulaire presque indiscutable. Le Français n’a pas oublié la promesse du journaliste. Il invite Morrissey dans les couloirs du United Center et le filme en train de déguster son article avec un peu de sauce salsa. Le détracteur grimace gentiment, l’autre est hilare, les bras levés. Ce n’est ni la première, ni la dernière fois que Noah encaissera des critiques faciles. Et qu’il leur tordra le cou.
Novembre 2009. Après une transition compliquée vers le haut niveau, Noah commence à dominer les raquettes NBA. Son énergie, ses qualités défensives, sa polyvalence font de lui un titulaire presque indiscutable. Le Français n’a pas oublié la promesse du journaliste. Il invite Morrissey dans les couloirs du United Center et le filme en train de déguster son article avec un peu de sauce salsa. Le détracteur grimace gentiment, l’autre est hilare, les bras levés. Ce n’est ni la première, ni la dernière fois que Noah encaissera des critiques faciles. Et qu’il leur tordra le cou.
Noah a grandi en détestant les Bulls
Tout de même, qui aurait pu croire que Joakim Noah, ce joueur dégingandé à la mécanique de tir si particulière, puisse devenir All-Star? Et qu’il soit capable d’intégrer le premier cinq-type de la NBA? L’an passé, sans Derrick Rose pour la deuxième saison de suite, c’est lui qui a porté les Bulls pendant toute la saison régulière, compilant 12,6 points, 11,3 rebonds et 5,4 passes avec une régularité et un leadership irréprochables. Avec le trophée de meilleur défenseur de l’année dans la poche, il pouvait aussi se targuer d’être la tour de contrôle du jeu offensif de Chicago, que Thibodeau a principalement construit autour de Noah pour profiter de sa taille et de ses qualités de passeur.Juin 2007. Dans la foulée de la Draft qui vient d’envoyer Joakim Noah chez les Bulls, Rick Morrissey, un journaliste du Chicago Tribune, rédige une critique vive et amère du pivot français. Ce dernier vient de rafler deux titres NCAA (championnat universitaire américain) avec les Gators de Florida, mais reste un joueur un peu rustre aux mouvements offensifs plutôt limités. Il est convaincu que le joueur "ne deviendra jamais utile" en NBA, et le fait savoir. Il est tellement sûr de lui qu’il annonce que si Noah lui prouve le contraire, il mangera son article.
Novembre 2009. Après une transition compliquée vers le haut niveau, Noah commence à dominer les raquettes NBA. Son énergie, ses qualités défensives, sa polyvalence font de lui un titulaire presque indiscutable. Le Français n’a pas oublié la promesse du journaliste. Il invite Morrissey dans les couloirs du United Center et le filme en train de déguster son article avec un peu de sauce salsa. Le détracteur grimace gentiment, l’autre est hilare, les bras levés. Ce n’est ni la première, ni la dernière fois que Noah encaissera des critiques faciles. Et qu’il leur tordra le cou.
Noah a grandi en détestant les Bulls
Tout de même, qui aurait pu croire que Joakim Noah, ce joueur dégingandé à la mécanique de tir si particulière, puisse devenir All-Star? Et qu’il soit capable d’intégrer le premier cinq-type de la NBA? L’an passé, sans Derrick Rose pour la deuxième saison de suite, c’est lui qui a porté les Bulls pendant toute la saison régulière, compilant 12,6 points, 11,3 rebonds et 5,4 passes avec une régularité et un leadership irréprochables. Avec le trophée de meilleur défenseur de l’année dans la poche, il pouvait aussi se targuer d’être la tour de contrôle du jeu offensif de Chicago, que Thibodeau a principalement construit autour de Noah pour profiter de sa taille et de ses qualités de passeur.
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