"Ils seront obligés tôt ou tard d’aller vivre avec les populations, ça c’est clair. Quand nous pensons qu’ils seront prêts, et quand la société sera prête à les recevoir, il n’y a pas de problème, on va les réinsérer. C’est un travail que nous sommes en train de faire, mais c’est une question de temps."
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