La Faculté des sciences et technologies de l’éducation et de la formation (Fastef) dégage toute responsabilité dans les remous qui risquent de secouer l’enseignement supérieur. En effet, de l’avis de section du Syndicat de l’enseignement supérieur (Saes/Fastef), leur ministère de tutelle ne s’est toujours pas acquitté du paiement des émoluments dus à la Fastef dans le cadre de la formation à distance.
A en croire les syndicalistes, cette situation prévaut depuis 2013 car, depuis cette date, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR) ne leur a pas versé intégralement la somme qui leur est due. Pire encore, soulignent-ils, le gouvernement n’a pas versé l’avance qui d’habitude, était disponible dès le mois e janvier.
Selon les syndicalistes, cette posture du MESR hypothèque «l’avenir de 1900 enseignants qui n’attendent que leur diplôme pour intégrer la fonction publique». A cela, s’ajoute le retard dans la proclamation des résultats de 2015. Ce qui empêche l’inscription d’une nouvelle section de formation, dénoncent-ils.
Très remontés contre le gouvernement et la tutelle, «le Saes/Fastef, dégage toutes ses responsabilités en cas de troubles que ce choix de pourrissement pourrait occasionner dans le système éducatif sénégalais déjà sérieusement affecté» ; et exige le «paiement intégral dans les plus brefs délais de toutes les sommes dues depuis 2013».
A en croire les syndicalistes, cette situation prévaut depuis 2013 car, depuis cette date, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR) ne leur a pas versé intégralement la somme qui leur est due. Pire encore, soulignent-ils, le gouvernement n’a pas versé l’avance qui d’habitude, était disponible dès le mois e janvier.
Selon les syndicalistes, cette posture du MESR hypothèque «l’avenir de 1900 enseignants qui n’attendent que leur diplôme pour intégrer la fonction publique». A cela, s’ajoute le retard dans la proclamation des résultats de 2015. Ce qui empêche l’inscription d’une nouvelle section de formation, dénoncent-ils.
Très remontés contre le gouvernement et la tutelle, «le Saes/Fastef, dégage toutes ses responsabilités en cas de troubles que ce choix de pourrissement pourrait occasionner dans le système éducatif sénégalais déjà sérieusement affecté» ; et exige le «paiement intégral dans les plus brefs délais de toutes les sommes dues depuis 2013».
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