Tout est parti juste après le décès d'Albert Sadio, ses enfants nés d'une première union, demandent à procéder au partage de l'actif de son patrimoine qu'ils partageaient avec Mme Sadio née Angélique Seck qu'il avait épousée sous la communauté de biens. Me Aïssata Tall Sall intervient à la demande de Mme Sadio pour les représenter dans la vente des biens immobiliers constituant le patrimoine à hériter: un terrain sis Ziguinchor-Kandé Santhiaba évalué à 4 millions de F CFA et les valeurs d'une villa sise à Amité 3 (Dakar) estimées à 103.690.805 F CFA, selon Ngoné Tall Diop, experte près les Tribunaux.
Dans le procès verbal, les héritiers ont décidé d'un commun accord à partager à l'amiable partiel du patrimoine communautaire et successoral "en affectant le terrain sis à Ziguinchor-Kandé Santhiaba à messieurs Georges François, Jean Charles, Prosper Edgar et Antoine Maurice Sadio à titre de récompenses. Et ce, pour venir en compensation des loyers qui auraient pu être générés par l'occupation de la Villa sise à l'Amité 3 par la veuve Angélique Sadio". Sur la part du montant à partager: 96.621.426 F CFA, la part communautaire d'Angélique Sadio s'élève à 48.310.713 F CFA (la moitié), la part des héritiers divisés par huit (8) étant toute aussi de 48.310.713 F CFA.
Une somme qui selon Ignace Galbert Badji, l’un des héritiers, se trouveraient entre les mains d’Aïssata Tall Sall. C’est dans une lettre en date de juillet 2011 que madame Sadio avait saisi le bâtonnier de l’Ordre des avocats pour se plaindre de l’attitude de l’avocate. « Nous croyons qu’elle a utilisé l’argent…Nous sommes prêts à donner notre vie. Je regrette de l’avoir proposée à ma famille », rage l’héritier dans les colonnes du journal « l’observateur ». Ce, face à la responsable socialiste qui rejette tout en bloc. « Tout ça, c’est faux. Le procès se déroule normalement devant le tribunal départemental hors classe de Dakar. L’affaire a été renvoyée au 15 mai 2014. Je ne connais pas Ignace Galbert Badji. Le représentant de madame Sadio, c’est un certain Monsieur Diémé. Je connais Angélique Seck et ses enfants qui vivent en France. J’ai les documents… », réagit la mairesse de Podor.
Dans le procès verbal, les héritiers ont décidé d'un commun accord à partager à l'amiable partiel du patrimoine communautaire et successoral "en affectant le terrain sis à Ziguinchor-Kandé Santhiaba à messieurs Georges François, Jean Charles, Prosper Edgar et Antoine Maurice Sadio à titre de récompenses. Et ce, pour venir en compensation des loyers qui auraient pu être générés par l'occupation de la Villa sise à l'Amité 3 par la veuve Angélique Sadio". Sur la part du montant à partager: 96.621.426 F CFA, la part communautaire d'Angélique Sadio s'élève à 48.310.713 F CFA (la moitié), la part des héritiers divisés par huit (8) étant toute aussi de 48.310.713 F CFA.
Une somme qui selon Ignace Galbert Badji, l’un des héritiers, se trouveraient entre les mains d’Aïssata Tall Sall. C’est dans une lettre en date de juillet 2011 que madame Sadio avait saisi le bâtonnier de l’Ordre des avocats pour se plaindre de l’attitude de l’avocate. « Nous croyons qu’elle a utilisé l’argent…Nous sommes prêts à donner notre vie. Je regrette de l’avoir proposée à ma famille », rage l’héritier dans les colonnes du journal « l’observateur ». Ce, face à la responsable socialiste qui rejette tout en bloc. « Tout ça, c’est faux. Le procès se déroule normalement devant le tribunal départemental hors classe de Dakar. L’affaire a été renvoyée au 15 mai 2014. Je ne connais pas Ignace Galbert Badji. Le représentant de madame Sadio, c’est un certain Monsieur Diémé. Je connais Angélique Seck et ses enfants qui vivent en France. J’ai les documents… », réagit la mairesse de Podor.
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