Sur le pied de guerre, le syndicat des travailleurs de la Justice (SYTJUST) entame la lutte pour la non suppression des heures supplémentaires. L'objectif est de "paralyser l’administration jusqu’à ce que les autorités reviennent sur leur décision". «On va vers l’ébullition du front social. Si les autorités ne prennent pas les devants, plusieurs secteurs de l’administration seront paralysés dans les prochaines heures", menacent-ils. "La première fois que le débat a été soulevé, les autorités avaient soutenu que les travailleurs de la santé, de la justice et des forces de l’ordre n’étaient pas concernés par cette mesure", vocifèrent ces travailleurs qui indiquent en point de presse ce matin, qu'"à leur grande surprise, au niveau du trésor public, on leur a fait savoir que la mesure prise frappe également les travailleur de la justice". Chose que déplore le SYTJUST.
Dans cet ordre d'idées, "du port du brassards rouges, les syndicats vont passer à l'étape supérieure" à savoir "la paralysie du système judiciaire". Et en bloc contre le gouvernement, ils vont "dire non à la suppression des heures supplémentaires dans la Fonction publique". Parlant de "forfaiture", le SYTJUST exige "des négociations sérieuses autour des points de revendication de leur plateforme". "Nous voulons des réponses concrète à nos doléances», clament les syndicalistes. Exprimant "sa désapprobation par rapport à cette décision du gouvernement", les travailleurs de la justice tendent la main "aux autres syndicats" pour "dire halte au gouvernement" car "il s’agit d’une décision unilatérale visant à paupériser les fonctionnaires ».
Dans cet ordre d'idées, "du port du brassards rouges, les syndicats vont passer à l'étape supérieure" à savoir "la paralysie du système judiciaire". Et en bloc contre le gouvernement, ils vont "dire non à la suppression des heures supplémentaires dans la Fonction publique". Parlant de "forfaiture", le SYTJUST exige "des négociations sérieuses autour des points de revendication de leur plateforme". "Nous voulons des réponses concrète à nos doléances», clament les syndicalistes. Exprimant "sa désapprobation par rapport à cette décision du gouvernement", les travailleurs de la justice tendent la main "aux autres syndicats" pour "dire halte au gouvernement" car "il s’agit d’une décision unilatérale visant à paupériser les fonctionnaires ».
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