Les Centres régionaux des œuvres universitaires et sociales (Crous) de Ziguinchor, Bambey et Thiès ne peuvent pas entrer en fonction pour le moment. C’est ce qu’a affirmé le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Pr Mary Teuw qui effectuait, en compagnie des membres de la commission Jeunesse, éducation, sport et loisir de l’Assemblée nationale, une visite de terrain à Thiès.
Selon lui, cette lenteur s’explique par un certain nombre de problèmes juridiques trouvés sur place après l’élection du chef de l’Etat Macky Sall en 2012. D’où sa décision de mettre sur place une structure chargée de faire l’état des lieux du secteur
«J’ai mis en place au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur, une commission de dévolution du patrimoine, parce qu’il ne faut pas oublier que les œuvres sociales étaient gérées par le Coud, d’où la nécessité de faire l’état des lieux pour la répartition des ressources aussi bien humaines que matérielles», informe-t-il.
Et d’ajouter, «les Crous ont besoin d’un temps minimal qui est un temps financier, d’un temps administratif pour que tout se mette en place car le plus difficile est déjà fait ».
C’est dans ce sens qu’il a demandé aux étudiants de patienter car, «on ne peut pas bâcler des questions importantes pour qu’elles nous rattrapent encore demain».
Selon lui, cette lenteur s’explique par un certain nombre de problèmes juridiques trouvés sur place après l’élection du chef de l’Etat Macky Sall en 2012. D’où sa décision de mettre sur place une structure chargée de faire l’état des lieux du secteur
«J’ai mis en place au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur, une commission de dévolution du patrimoine, parce qu’il ne faut pas oublier que les œuvres sociales étaient gérées par le Coud, d’où la nécessité de faire l’état des lieux pour la répartition des ressources aussi bien humaines que matérielles», informe-t-il.
Et d’ajouter, «les Crous ont besoin d’un temps minimal qui est un temps financier, d’un temps administratif pour que tout se mette en place car le plus difficile est déjà fait ».
C’est dans ce sens qu’il a demandé aux étudiants de patienter car, «on ne peut pas bâcler des questions importantes pour qu’elles nous rattrapent encore demain».
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