L’industrie extractive du Sénégal a contribué à hauteur de 46 milliards de francs Cfa au cours de l’année 2013 dans l’économie nationale. C’est ce qui est ressorti du rapport de l’Initiative pour la transparence dans le secteur de l’industrie extractive (Itie).
Le rapport qui, selon Cheikh Tidiane Touré, est un document qui permet de présenter de façon globale les contours liés à la gouvernance du secteur extractif. Ce qui a permis de faire le tour de 146 compagnies du secteur minier «dont les 25 ont été amenés à déclarer et pour les 121 qui restent, on a considéré que leur contribution n’était pas tout à fait significative. Et c’est pour cette raison que le Comité nationale a demandé à ce que ce soit une déclaration unilatérale», a-t-il soutenu.
Le secteur des hydrocarbures a eu aussi à contribuer dans l’économie nationale en 2013, mais de façon plus modeste puisque le secteur du gaz constitué de 7 entreprises a participé à hauteur de 3 milliards de F Cfa. Le secteur pétrolier n’a pas véritablement été pris en compte dans ce rapport à cause d’une instabilité institutionnelle.
Le Premier ministre qui présidait la cérémonie de lancement s’est félicité de ce rapport : «La publication régulière des paiements déclarés par les entreprises pétrolières, gazières et minières et des revenus perçus par l’Etat est devenue une pratique communément admise par les sociétés privées et les Etats. Elle est aussi devenue une exigence croissante de la part de la société civile et des populations des pays dotés en ressources naturelles. C’est pourquoi, la sortie du premier rapport sous notre magistère s’inscrit dans l’ordre normal des choses. Elle ne fait que corriger une faille dans le système de reporting gouvernemental», a-t-il déclaré.
Néanmoins, Mahammed Boun Abdallah Dionne a reconnu qu’il restait encore du travail à faire : «La nouveauté de l’exercice justifie, à bien des égards, les problèmes relatifs à la fiabilité et au manque d’exhaustivité de l’information. Cette question trop souvent, revenue dans les propos de l’administrateur indépendant, nous rappelle au demeurant, que des efforts restent à faire pour bâtir des systèmes d’information plus ouverts, sensibles et centrés sur les besoins des usagers. J’engage ici les ministères concernés à prendre les mesures idoines pour pallier ces insuffisances».
Mahammad Dionne a aussi lancé un appel aux entreprises retenues pour qu’elles collaborent avec la structure «en lui soumettant leurs déclarations, selon les modalités définies par la Norme Itie».
Le rapport qui, selon Cheikh Tidiane Touré, est un document qui permet de présenter de façon globale les contours liés à la gouvernance du secteur extractif. Ce qui a permis de faire le tour de 146 compagnies du secteur minier «dont les 25 ont été amenés à déclarer et pour les 121 qui restent, on a considéré que leur contribution n’était pas tout à fait significative. Et c’est pour cette raison que le Comité nationale a demandé à ce que ce soit une déclaration unilatérale», a-t-il soutenu.
Le secteur des hydrocarbures a eu aussi à contribuer dans l’économie nationale en 2013, mais de façon plus modeste puisque le secteur du gaz constitué de 7 entreprises a participé à hauteur de 3 milliards de F Cfa. Le secteur pétrolier n’a pas véritablement été pris en compte dans ce rapport à cause d’une instabilité institutionnelle.
Le Premier ministre qui présidait la cérémonie de lancement s’est félicité de ce rapport : «La publication régulière des paiements déclarés par les entreprises pétrolières, gazières et minières et des revenus perçus par l’Etat est devenue une pratique communément admise par les sociétés privées et les Etats. Elle est aussi devenue une exigence croissante de la part de la société civile et des populations des pays dotés en ressources naturelles. C’est pourquoi, la sortie du premier rapport sous notre magistère s’inscrit dans l’ordre normal des choses. Elle ne fait que corriger une faille dans le système de reporting gouvernemental», a-t-il déclaré.
Néanmoins, Mahammed Boun Abdallah Dionne a reconnu qu’il restait encore du travail à faire : «La nouveauté de l’exercice justifie, à bien des égards, les problèmes relatifs à la fiabilité et au manque d’exhaustivité de l’information. Cette question trop souvent, revenue dans les propos de l’administrateur indépendant, nous rappelle au demeurant, que des efforts restent à faire pour bâtir des systèmes d’information plus ouverts, sensibles et centrés sur les besoins des usagers. J’engage ici les ministères concernés à prendre les mesures idoines pour pallier ces insuffisances».
Mahammad Dionne a aussi lancé un appel aux entreprises retenues pour qu’elles collaborent avec la structure «en lui soumettant leurs déclarations, selon les modalités définies par la Norme Itie».
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