Les objectifs annuels fixés par les autorités sont largement à la portée des services compétents (Douanes et DGID) pour cet exercice budgétaire.
Selon le document, les ressources mobilisées à fin mars 2015 sont composées provisoirement de recettes budgétaires pour 358 milliards et de dons à hauteur de 32,3 milliards, portés essentiellement par les dons en capital (28,2 milliards). En un an, de mars 2014 à mars 2015, les recettes budgétaires, ont progressé de 12,7%, passant de 317,6 milliards à fin mars 2014 à 358 milliards à fin mars 2015.
Au niveau des impôts directs, il ressort une progression globale de 22,6% sur un an, grâce notamment au recouvrement substantiel de la première échéance de l’impôt sur les sociétés en février 2015 et à l’impôt sur le revenu. Les recouvrements de ces deux types d’impôt se sont accrus respectivement de 13,8 milliards et 10,6 milliards pour s’établir à 45,4 milliards et 69,6 milliards, lit-on dans le document.
Concernant les recettes douanières (100,7 milliards), leur recouvrement a été marqué, en variation annuelle, par des hausses de 2,6 milliards (+17%) et de 2,8 milliards (+7%) des recettes perçues au titre de la TVA à l’importation des produits pétroliers et des droits de douane qui se sont établies respectivement à 18,1 milliards et 43,6 milliards à fin mars 2015. Il faut noter que ces performances ont été rendues possibles grâce à la diligence des soldats de l’économie.
Quant aux recettes pétrolières, elles ont été recouvrées à hauteur de 50,1 milliards au premier trimestre de 2015 contre 37,1 milliards un an auparavant, soit une progression de 35%.
Selon la DPEE, la bonne tenue des recettes pétrolières relativement au premier trimestre de 2014 s’explique, en partie, par la forte hausse aussi bien en valeur qu’en volume des importations des principaux produits pétroliers, notamment, le gasoil, le super carburant et le fuel.
En effet, les importations de produits pétroliers ont, en volume, plus que doublé, passant de 144,7 mille tonnes à 300,3 tonnes, en glissement annuel. En conséquence, malgré la baisse continue des cours du pétrole, les importations de pétrole sont, en valeur, passées de 44,7 milliards à 80,9 milliards, soit un raffermissement de 55%.
Selon le document, les ressources mobilisées à fin mars 2015 sont composées provisoirement de recettes budgétaires pour 358 milliards et de dons à hauteur de 32,3 milliards, portés essentiellement par les dons en capital (28,2 milliards). En un an, de mars 2014 à mars 2015, les recettes budgétaires, ont progressé de 12,7%, passant de 317,6 milliards à fin mars 2014 à 358 milliards à fin mars 2015.
Au niveau des impôts directs, il ressort une progression globale de 22,6% sur un an, grâce notamment au recouvrement substantiel de la première échéance de l’impôt sur les sociétés en février 2015 et à l’impôt sur le revenu. Les recouvrements de ces deux types d’impôt se sont accrus respectivement de 13,8 milliards et 10,6 milliards pour s’établir à 45,4 milliards et 69,6 milliards, lit-on dans le document.
Concernant les recettes douanières (100,7 milliards), leur recouvrement a été marqué, en variation annuelle, par des hausses de 2,6 milliards (+17%) et de 2,8 milliards (+7%) des recettes perçues au titre de la TVA à l’importation des produits pétroliers et des droits de douane qui se sont établies respectivement à 18,1 milliards et 43,6 milliards à fin mars 2015. Il faut noter que ces performances ont été rendues possibles grâce à la diligence des soldats de l’économie.
Quant aux recettes pétrolières, elles ont été recouvrées à hauteur de 50,1 milliards au premier trimestre de 2015 contre 37,1 milliards un an auparavant, soit une progression de 35%.
Selon la DPEE, la bonne tenue des recettes pétrolières relativement au premier trimestre de 2014 s’explique, en partie, par la forte hausse aussi bien en valeur qu’en volume des importations des principaux produits pétroliers, notamment, le gasoil, le super carburant et le fuel.
En effet, les importations de produits pétroliers ont, en volume, plus que doublé, passant de 144,7 mille tonnes à 300,3 tonnes, en glissement annuel. En conséquence, malgré la baisse continue des cours du pétrole, les importations de pétrole sont, en valeur, passées de 44,7 milliards à 80,9 milliards, soit un raffermissement de 55%.
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