La cérémonie n’a duré qu’une demi-heure, mais la foule est restée bien longtemps après. Une démonstration d’unité, de solidarité, comme un acte de défiance face à la barbarie terroriste.
La grande place qui fait face au bâtiment gothique victorien de la mairie de Manchester était noire de monde. Des hommes, des femmes de tous âges, de toutes origines : des pasteurs anglicans, des sikhs enturbannés distribuant des boissons et des confiseries gratuites, des jeunes juifs en habits rabbiniques ou des musulmans, brandissant des banderoles proclamant l’amour pour tout le monde, la haine pour personne.
« Nous allons défaire les terroristes à travers notre diversité », a dit le lord maire de la ville, Eddy Newman, qui en a profité pour remercier les services de secours, ce qui a provoqué des applaudissements nourris de la foule.
Une foule nombreuse, calme, qui a tenu à rester bien au-delà de la cérémonie officielle sur la place, brandissant des pancartes « J’aime Manchester ». Beaucoup ont apporté des fleurs qui s’amoncellent devant la mairie. « Résister face à la terreur, montrer que la vie continue, tout en gardant les victimes dans notre cœur », c’est aussi le maitre mot pour ce couple venu avec leurs fillettes, des jumelles de 8 ans. Huit ans, c’est l’âge de Saffie Rose Rousoss, l’une des premières victimes identifiées.
RFI
La grande place qui fait face au bâtiment gothique victorien de la mairie de Manchester était noire de monde. Des hommes, des femmes de tous âges, de toutes origines : des pasteurs anglicans, des sikhs enturbannés distribuant des boissons et des confiseries gratuites, des jeunes juifs en habits rabbiniques ou des musulmans, brandissant des banderoles proclamant l’amour pour tout le monde, la haine pour personne.
« Nous allons défaire les terroristes à travers notre diversité », a dit le lord maire de la ville, Eddy Newman, qui en a profité pour remercier les services de secours, ce qui a provoqué des applaudissements nourris de la foule.
Une foule nombreuse, calme, qui a tenu à rester bien au-delà de la cérémonie officielle sur la place, brandissant des pancartes « J’aime Manchester ». Beaucoup ont apporté des fleurs qui s’amoncellent devant la mairie. « Résister face à la terreur, montrer que la vie continue, tout en gardant les victimes dans notre cœur », c’est aussi le maitre mot pour ce couple venu avec leurs fillettes, des jumelles de 8 ans. Huit ans, c’est l’âge de Saffie Rose Rousoss, l’une des premières victimes identifiées.
RFI
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