Depuis ce samedi 21 mai, une équipe de Radio France internationale (Rfi) est à Dakar pour les besoins de la remise du "Prix Rfi challenge App Afrique" avec l’émission priorité santé et du lancement des sites Rfi Afrique et Rfi savoirs.
Après le concours en musique, en sport, Rfi se lance ainsi sur le concours sur la santé. «La santé est absolument essentielle, la question de l’accès aux soins, de la connaissance en santé nous paraît essentiel, c’était l’idée de ce concours « App Challenge en Afrique. On est ici en Afrique plus précisément à Dakar pour la remise de ce prix», précise Claire Hédon.
Le thème portant sur l’interrogation «Le Sénégal est-il la référence dans la formation des médecins en Afrique francophone ?», l’animatrice de «Priorité santé» sur Rfi d’indiquer : «C’est une question de fond car le Sénégal a été très en avance sur la formation des médecins». «Est-ce toujours vrai vu les conditions difficiles des étudiants médecins de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) ? », se pose la journaliste.
Intervenant sur les critères de financement de France 24 et Rfi, la directrice générale de FMM, d’informer qu’ils ne sont pas financés outre que par les fonds dédiés à la presse. «Nous sommes financés par la redevance à 100/100, qui est ce texte que payent les citoyens français qui détiennent un téléviseur, c’est ça le critère», dit Marie-Christine Saragosse.
Et de poursuivre: «On est donc financé à 100/100 par ce fond qui est spécial et qui ne peut être donné qu’aux médias, qui ne peut pas être utilisé par le gouvernement à d’autres fins et c’est le ministère de la Culture qui l’attribue». La Directrice générale ne s’est pas limitée au fonctionnement de leur presse, elle a aussi expliqué les problèmes qu’ils peuvent rencontrer sur le terrain. «Le Quai d’Orsay n’intervient jamais, France 24 et Rfi sont un peu poil à gratter, il arrive régulièrement qu’on ait des mécontents et nos envoyés spéciaux se font parfois engueuler en notre nom et ils ne nous engueulent pas à leur tour, ils disent simplement que c’est la liberté d’expression».
Par rapport à la question de savoir s’ils ne sont pas parfois interpellés par des chefs d’Etats mécontents, Claire Hédon répond par la négative: «Notre ligne éditoriale est impartiale, elle est équilibrée, elle creuse des sujets, elle ne se contente pas des dires. Ce sont des journalistes d’investigations, de terrain, en général,…Il y a des droits de réponses, c’est le débat qui permet l’objectivité mais je ne peux pas dire que je reçois une pression. C’est vrai que certains chefs d’Etat peuvent nous dire au détour que sur telle chose, vous n’avez pas parler de l’aspect positif. C’est vrai que le problème de l’information, c’est une rupture de normalité qui, en général, n’est pas positive», explique-t-elle.
Après le concours en musique, en sport, Rfi se lance ainsi sur le concours sur la santé. «La santé est absolument essentielle, la question de l’accès aux soins, de la connaissance en santé nous paraît essentiel, c’était l’idée de ce concours « App Challenge en Afrique. On est ici en Afrique plus précisément à Dakar pour la remise de ce prix», précise Claire Hédon.
Le thème portant sur l’interrogation «Le Sénégal est-il la référence dans la formation des médecins en Afrique francophone ?», l’animatrice de «Priorité santé» sur Rfi d’indiquer : «C’est une question de fond car le Sénégal a été très en avance sur la formation des médecins». «Est-ce toujours vrai vu les conditions difficiles des étudiants médecins de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) ? », se pose la journaliste.
Intervenant sur les critères de financement de France 24 et Rfi, la directrice générale de FMM, d’informer qu’ils ne sont pas financés outre que par les fonds dédiés à la presse. «Nous sommes financés par la redevance à 100/100, qui est ce texte que payent les citoyens français qui détiennent un téléviseur, c’est ça le critère», dit Marie-Christine Saragosse.
Et de poursuivre: «On est donc financé à 100/100 par ce fond qui est spécial et qui ne peut être donné qu’aux médias, qui ne peut pas être utilisé par le gouvernement à d’autres fins et c’est le ministère de la Culture qui l’attribue». La Directrice générale ne s’est pas limitée au fonctionnement de leur presse, elle a aussi expliqué les problèmes qu’ils peuvent rencontrer sur le terrain. «Le Quai d’Orsay n’intervient jamais, France 24 et Rfi sont un peu poil à gratter, il arrive régulièrement qu’on ait des mécontents et nos envoyés spéciaux se font parfois engueuler en notre nom et ils ne nous engueulent pas à leur tour, ils disent simplement que c’est la liberté d’expression».
Par rapport à la question de savoir s’ils ne sont pas parfois interpellés par des chefs d’Etats mécontents, Claire Hédon répond par la négative: «Notre ligne éditoriale est impartiale, elle est équilibrée, elle creuse des sujets, elle ne se contente pas des dires. Ce sont des journalistes d’investigations, de terrain, en général,…Il y a des droits de réponses, c’est le débat qui permet l’objectivité mais je ne peux pas dire que je reçois une pression. C’est vrai que certains chefs d’Etat peuvent nous dire au détour que sur telle chose, vous n’avez pas parler de l’aspect positif. C’est vrai que le problème de l’information, c’est une rupture de normalité qui, en général, n’est pas positive», explique-t-elle.
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