Les opposants prévoient une journée « Togo mort » vendredi prochain 29 septembre et appellent à manifester de nouveau jeudi 28 et samedi 30.
Cette fois, il y aura un seul cortège. Les responsables de l'opposition l'admettent : défiler dans des lieux différents mercredi et jeudi derniers a été une erreur. Des manifestants sur deux sites différents, l'un nettement dominé par la coalition CAP 2015 et l'autre par le PNP, n'a pas servi l'image d'unité que l'opposition tient absolument à montrer.
Un seul cortège donc la semaine prochaine, pour maintenir la pression, selon la coalition de l'opposition. Et pour établir un rapport de force en vue d'éventuelles discussions avec le pouvoir. Plusieurs opposants estiment que le référendum sur les réformes n'aura pas lieu, contrairement à ce qu'affirme le gouvernement. Ils pensent qu'un autre projet de loi pourrait en fait être présenté à l'Assemblée d'ici là.
Et les avis sont partagés sur la marche à suivre si cette éventualité se présente. La plupart des partis de l'opposition se disent prêts à étudier un nouveau texte. Pas question de marchander, explique l'un des responsables, mais nous sommes ouverts au dialogue. Un dialogue que refuse en revanche Tikpi Atchadam. Le leader du PNP, de plus en plus discret, se dit menacé, et il n'a pas participé aux manifestations cette semaine.
Cette fois, il y aura un seul cortège. Les responsables de l'opposition l'admettent : défiler dans des lieux différents mercredi et jeudi derniers a été une erreur. Des manifestants sur deux sites différents, l'un nettement dominé par la coalition CAP 2015 et l'autre par le PNP, n'a pas servi l'image d'unité que l'opposition tient absolument à montrer.
Un seul cortège donc la semaine prochaine, pour maintenir la pression, selon la coalition de l'opposition. Et pour établir un rapport de force en vue d'éventuelles discussions avec le pouvoir. Plusieurs opposants estiment que le référendum sur les réformes n'aura pas lieu, contrairement à ce qu'affirme le gouvernement. Ils pensent qu'un autre projet de loi pourrait en fait être présenté à l'Assemblée d'ici là.
Et les avis sont partagés sur la marche à suivre si cette éventualité se présente. La plupart des partis de l'opposition se disent prêts à étudier un nouveau texte. Pas question de marchander, explique l'un des responsables, mais nous sommes ouverts au dialogue. Un dialogue que refuse en revanche Tikpi Atchadam. Le leader du PNP, de plus en plus discret, se dit menacé, et il n'a pas participé aux manifestations cette semaine.
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