Donald Trump s'est dit prêt à "régler" seul le problème nord-coréen, sans l'aide de la Chine, selon des propos publiés dimanche 2 avril par le Financial Times, à quelques jours de la visite du président chinois Xi Jinping aux États-Unis.
"Si la Chine ne règle pas la Corée du Nord, nous le ferons". À la question de savoir si les États-Unis pourraient agir seuls, sans attendre l'aide de la Chine, Donald Trump répond : "Absolument", sans donner plus détails.
"La Chine décidera de nous aider ou pas avec la Corée du Nord (...) S'ils ne le font pas, ce ne sera bon pour personne", affirme le président américain dans cet entretien au quotidien financier britannique, avec l'intention évidente de montrer sa détermination et sa fermeté.
"Mettre la pression" sur la Chine
L'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley, avait déjà indiqué dimanche que les États-Unis entendaient "mettre la pression" sur la Chine pour qu'elle "agisse" contre la course à l'arme nucléaire de la Corée du Nord.
Mais "la conversation la plus importante sera comment nous allons gérer la non-prolifération de la Corée du Nord", a estimé Nikki Haley, laissant augurer d'un tête-à-tête tendu entre les deux dirigeants sur le dossier nord-coréen.
Pékin a déjà annoncé la fin de ses importations de charbon nord-coréen, conformément aux sanctions de l'ONU visant à convaincre ce pays de renoncer à ses programmes nucléaire et balistique. Une mesure jugée insuffisante par Nikki Haley.
Le président américain Donald Trump avait indiqué jeudi sur son compte Twitter que la rencontre avec Xi Jinping serait "très difficile", en raison notamment des différends commerciaux entre les deux grandes puissances.
"Si la Chine ne règle pas la Corée du Nord, nous le ferons". À la question de savoir si les États-Unis pourraient agir seuls, sans attendre l'aide de la Chine, Donald Trump répond : "Absolument", sans donner plus détails.
"La Chine décidera de nous aider ou pas avec la Corée du Nord (...) S'ils ne le font pas, ce ne sera bon pour personne", affirme le président américain dans cet entretien au quotidien financier britannique, avec l'intention évidente de montrer sa détermination et sa fermeté.
"Mettre la pression" sur la Chine
L'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley, avait déjà indiqué dimanche que les États-Unis entendaient "mettre la pression" sur la Chine pour qu'elle "agisse" contre la course à l'arme nucléaire de la Corée du Nord.
Mais "la conversation la plus importante sera comment nous allons gérer la non-prolifération de la Corée du Nord", a estimé Nikki Haley, laissant augurer d'un tête-à-tête tendu entre les deux dirigeants sur le dossier nord-coréen.
Pékin a déjà annoncé la fin de ses importations de charbon nord-coréen, conformément aux sanctions de l'ONU visant à convaincre ce pays de renoncer à ses programmes nucléaire et balistique. Une mesure jugée insuffisante par Nikki Haley.
Le président américain Donald Trump avait indiqué jeudi sur son compte Twitter que la rencontre avec Xi Jinping serait "très difficile", en raison notamment des différends commerciaux entre les deux grandes puissances.
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