Les employés de santé de Ziguinchor ont organisé ce matin un sit-in devant l’Hôpital de la Paix pour dénoncer entre autres le retard noté dans le paiement des salaires des contractuels, mais aussi le non-paiement des heures supplémentaires ainsi que des fonds de motivation.
Mais ce ne sont les seules revendications qu’ils ont car, déclare Ousmane Mbaye, il y a aussi des doléances qui leur sont spécifiques telles que le recrutement des stagiaires, la gestion de leur carrière et la construction d’un bloc opératoire au niveau de Bignona.
Sur ce dernier point, le Secrétaire général de l’Union régionale du Sutsas de Ziguinchor étale les maux dont souffrent les populations des localités environnantes : «Concernant Bignona, nous avons voulu marquer le point pour que son bloc opératoire soit réellement mis en place et rendu opérationnel car, «trois districts évacuent leurs malades sur Ziguinchor à savoir Diouloulou, Thionck Essyl, Bounkiling et qui passent tous par Bignona. Il y a un gain de 25 à 30 kilomètres, près de 30 minutes sur le pronostic de survie des personnes que l’on évacue».
Selon lui, cette situation est loin de s’inscrire dans le registre de la lutte contre la mortalité maternelle ; d’autant plus que la distribution des fonds de dotation qui devrait permettre à leurs structures de s’acquitter plus ou moins convenablement de leur tâche, se fait au gré des responsables communales
Mais ce ne sont les seules revendications qu’ils ont car, déclare Ousmane Mbaye, il y a aussi des doléances qui leur sont spécifiques telles que le recrutement des stagiaires, la gestion de leur carrière et la construction d’un bloc opératoire au niveau de Bignona.
Sur ce dernier point, le Secrétaire général de l’Union régionale du Sutsas de Ziguinchor étale les maux dont souffrent les populations des localités environnantes : «Concernant Bignona, nous avons voulu marquer le point pour que son bloc opératoire soit réellement mis en place et rendu opérationnel car, «trois districts évacuent leurs malades sur Ziguinchor à savoir Diouloulou, Thionck Essyl, Bounkiling et qui passent tous par Bignona. Il y a un gain de 25 à 30 kilomètres, près de 30 minutes sur le pronostic de survie des personnes que l’on évacue».
Selon lui, cette situation est loin de s’inscrire dans le registre de la lutte contre la mortalité maternelle ; d’autant plus que la distribution des fonds de dotation qui devrait permettre à leurs structures de s’acquitter plus ou moins convenablement de leur tâche, se fait au gré des responsables communales
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