Officiellement, ils n'existent pas. On les appelle : les "Ghost Children". Ils sont plus de 200 millions dans le monde. 40 millions rien qu'en Afrique de l'Ouest et du Centre.
Pourtant ces enfants existent bel et bien. Sauf qu'aucun Etat et aucune administration ne les connaissent.
En naissant, ils n'ont été enregistrés nulle part. Ce qui signifie qu'ils n'ont ni identité légale, ni nationalité. Impossible pour eux d'aller à l'école, ou plus tard, de postuler à un emploi.
« Le concept, c'est de rendre systématique l'enregistrement des naissances et autres faits d'Etat civil en vue d'une rapide constitution de registres exhaustifs et dynamiques dans nos pays », explique Adama Sawadogo, consultant en sécurité documentaire, cofondateur de icivil Africa.
Pourtant ces enfants existent bel et bien. Sauf qu'aucun Etat et aucune administration ne les connaissent.
En naissant, ils n'ont été enregistrés nulle part. Ce qui signifie qu'ils n'ont ni identité légale, ni nationalité. Impossible pour eux d'aller à l'école, ou plus tard, de postuler à un emploi.
« Le concept, c'est de rendre systématique l'enregistrement des naissances et autres faits d'Etat civil en vue d'une rapide constitution de registres exhaustifs et dynamiques dans nos pays », explique Adama Sawadogo, consultant en sécurité documentaire, cofondateur de icivil Africa.
Autres articles
-
Syrie: au moins 36 soldats syriens tués dans une frappe israélienne près d'Alep (ONG)
-
Haïti: 243 personnes évacuées vers la Martinique, dont une majorité de Français
-
Guerre au Soudan: les États-Unis tentent de relancer les pourparlers de paix
-
Élections en Afrique du Sud: pourquoi l’ANC s'attaque au nom du parti de l’ex-président Jacob Zuma
-
Mali: les partis politiques, de tous bords, demandent un nouveau processus court de transition