Paulin Makaya s’est présenté dans la salle dix minutes avant l’ouverture de l’audience. Très détendu, il a échangé avec quelques personnes. Son affaire a rapidement été évacuée par Christine Tsiba Mayanda, la présidente de la première chambre correctionnelle de la cour d’appel qui a confirmé le jugement rendu en première instance en juillet 2016, condamnant Paulin Makaya à deux ans de prison ferme pour « incitation aux troubles à l’ordre public ».
Ce jugement est simplement qualifié d’illégal par maître Eric Yvon Ibouanga, de la défense : « La décision que la première chambre correctionnelle de la cour d’appel vient de rendre est pour nous décevante et illégale. Nous avons toujours soutenu que tous les éléments constitutifs de l’infraction reprochée à monsieur Paulin Makaya ne sont pas réunis, et donc nous avions au cours de l’instruction à la barre et les plaidoiries, des réquisitions et tout, passé au crible cette infraction. Et pour nous, nous continuons à soutenir que cette décision est illégale ».
Maître Ibouanga n’exclut pas la possibilité d’exercer un recours après avoir discuté avec son client qui, après l’audience, a regagné calmement sa cellule : « Oui, nous avons la possibilité de faire un pourvoi en cassation dans un délai de trois jours ».
Ce jugement est simplement qualifié d’illégal par maître Eric Yvon Ibouanga, de la défense : « La décision que la première chambre correctionnelle de la cour d’appel vient de rendre est pour nous décevante et illégale. Nous avons toujours soutenu que tous les éléments constitutifs de l’infraction reprochée à monsieur Paulin Makaya ne sont pas réunis, et donc nous avions au cours de l’instruction à la barre et les plaidoiries, des réquisitions et tout, passé au crible cette infraction. Et pour nous, nous continuons à soutenir que cette décision est illégale ».
Maître Ibouanga n’exclut pas la possibilité d’exercer un recours après avoir discuté avec son client qui, après l’audience, a regagné calmement sa cellule : « Oui, nous avons la possibilité de faire un pourvoi en cassation dans un délai de trois jours ».
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