La Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH) est dans tous ses états. Me Assane Dioma Ndiaye et Cie dénoncent « une promiscuité et une tension jamais égalées en raison des causes structurelles connues et corrélatives d’une politique de placement systématique sous mandat de dépôt des personnes en maille à partir avec la justice de la part du ministère public faisant de la détention le principe au Sénégal et la liberté provisoire l’exception.
Pire, pour la LSDH : « le maintien en prison de personnes acquittées lors de session de la Cour d’assises, par le simple fait de l’appel suspensif du Parquet général ». Les droits de l’hommiste de citer pour le déplorer, le cas du détenu Amadou Tidiane Diallo qui s’est coupé les parties intimes. Ce, d’abord pour protester contre les conditions inhumaines de détention et ensuite contre l’attitude du Parquet général de Kaolack qui a fait appel à la décision de la Cour.
Pire, pour la LSDH : « le maintien en prison de personnes acquittées lors de session de la Cour d’assises, par le simple fait de l’appel suspensif du Parquet général ». Les droits de l’hommiste de citer pour le déplorer, le cas du détenu Amadou Tidiane Diallo qui s’est coupé les parties intimes. Ce, d’abord pour protester contre les conditions inhumaines de détention et ensuite contre l’attitude du Parquet général de Kaolack qui a fait appel à la décision de la Cour.
Autres articles
-
Kédougou : les FDS renforcent les opérations de sécurité contre l'orpaillage illégal
-
Les douanes gambiennes renoncent à la hausse des droits prélevés sur le ciment sénégalais
-
Tribunal de Thiès : Il ligote son épouse avant d'introduire un tuyau dans ses parties intimes
-
Plus de 10.000 tonnes d’oignon invendues dans les Zone des Niayes
-
Retard de salaires, conditions de travail, manque de transparence dans la gestion des affaires de l’entreprise : les travailleurs du groupe de presse Emedia broient du noir