Les membres du Sutrail crient au secours aux Etats malien et sénégalais. Très inquiets de l’avenir de leur entreprise, ils attendent toujours les mesures d’accompagnement annoncées pour la phase transitoire, suite à la reprise de transrail par les Etats maliens et sénégalais.
Selon le secrétaire général de Sutrail affilié à la Cnts/fc, Mambaye Tounkara, «le chemin de fer n’a jamais atteint ce seuil de dégradation, de toute son histoire». Il demande aux autorités de veiller sur le processus de privatisation des entreprises nationales. Car, poursuit-il, il est temps de rectifier les mauvaises privatisations qui secouent les entreprises.
Mamadou Tounkara de renseigner, qu’avant la privatisation, ils en étaient à 18 machines, avec un parc de matériel fiable. Aujourd’hui, regrette-t-il, après 13 ans de privatisation, ils n’ont que deux machines fonctionnelles et un parc de matériels roulants qui n’est pas fiable. C’est pourquoi, «la direction actuelle de Dakar-Bamako ferroviaire a décidé avec l’appui des autorités de diligenter la commande de pièces de rechange de deux machines, avant la fin du mois. Les autres suivront au courant du mois de juillet, afin d’avoir six machines fiables disponibles, avant la fin juillet».
«Ce manque de matériels peut entraîner l’arrêt du trafic. Nous espérons que les autorités vont continuer à nous accompagner dans cette phase difficile et nous les invitons à accélérer la commande de pièces de réparation», lance-t-il.
Selon le secrétaire général de Sutrail affilié à la Cnts/fc, Mambaye Tounkara, «le chemin de fer n’a jamais atteint ce seuil de dégradation, de toute son histoire». Il demande aux autorités de veiller sur le processus de privatisation des entreprises nationales. Car, poursuit-il, il est temps de rectifier les mauvaises privatisations qui secouent les entreprises.
Mamadou Tounkara de renseigner, qu’avant la privatisation, ils en étaient à 18 machines, avec un parc de matériel fiable. Aujourd’hui, regrette-t-il, après 13 ans de privatisation, ils n’ont que deux machines fonctionnelles et un parc de matériels roulants qui n’est pas fiable. C’est pourquoi, «la direction actuelle de Dakar-Bamako ferroviaire a décidé avec l’appui des autorités de diligenter la commande de pièces de rechange de deux machines, avant la fin du mois. Les autres suivront au courant du mois de juillet, afin d’avoir six machines fiables disponibles, avant la fin juillet».
«Ce manque de matériels peut entraîner l’arrêt du trafic. Nous espérons que les autorités vont continuer à nous accompagner dans cette phase difficile et nous les invitons à accélérer la commande de pièces de réparation», lance-t-il.
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