Quelque 50 millions de femmes, issues du Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA), de la Communauté d’Afrique de l’est (CAE) et de la Communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), peuvent désormais échanger au moyen d’une plateforme multinationale dédiée aux femmes entrepreneures.
Le projet baptisé «50 Millions de femmes africaines ont la parole» (50MWS), consiste en la création d’une plateforme de réseautage dédiée aux femmes entrepreneuses d’Afrique sub-saharienne.
Cette plateforme qui se veut innovante doit aider les femmes au moment de lancer et faire grandir leurs affaires, à travers l’échange d’informations et d’idées. Ce forum digital va permette aux entrepreneuses de se connaître les unes les autres, favorisant l’apprentissage mutuel, le tutorat et le partage d’informations, a indiqué Geraldine Fraser Moleketi, Envoyée spéciale de la BAD sur les questions de genre, citée dans le communiqué de la banque panafricaine.
Accessible via les téléphones portables, la plateforme permettra aux femmes de bénéficier d’une formation entrepreneuriale, d’un encadrement, de services financiers et d’informations locales pertinentes sur les affaires, tout en ayant la possibilité d’établir leurs propres réseaux de contacts.
«Le projet sera mis en œuvre sur une période de trois ans, à compter de 2017. On estime qu’en 2022 la plateforme pourrait rassembler plus de 50 000 utilisatrices actives par mois, et qu’en développant leurs affaires ces entrepreneuses pourraient créer jusqu’à 10% d’emplois supplémentaires », fait noter la BAD.
«Les utilisatrices de la plateforme seront amenées à en apprendre davantage leurs droits sur les moyens d’obtenir des financements privés» a indiqué le responsable du pilotage du projet à la BAD, Jack Salieu.
Dans les pays cibles, le taux d’accès des femmes entrepreneurs aux prêts bancaires pourrait ainsi passer de 4% à 10% d’ici 2022.
Source: Lemagazinedumanager.com
Le projet baptisé «50 Millions de femmes africaines ont la parole» (50MWS), consiste en la création d’une plateforme de réseautage dédiée aux femmes entrepreneuses d’Afrique sub-saharienne.
Cette plateforme qui se veut innovante doit aider les femmes au moment de lancer et faire grandir leurs affaires, à travers l’échange d’informations et d’idées. Ce forum digital va permette aux entrepreneuses de se connaître les unes les autres, favorisant l’apprentissage mutuel, le tutorat et le partage d’informations, a indiqué Geraldine Fraser Moleketi, Envoyée spéciale de la BAD sur les questions de genre, citée dans le communiqué de la banque panafricaine.
Accessible via les téléphones portables, la plateforme permettra aux femmes de bénéficier d’une formation entrepreneuriale, d’un encadrement, de services financiers et d’informations locales pertinentes sur les affaires, tout en ayant la possibilité d’établir leurs propres réseaux de contacts.
«Le projet sera mis en œuvre sur une période de trois ans, à compter de 2017. On estime qu’en 2022 la plateforme pourrait rassembler plus de 50 000 utilisatrices actives par mois, et qu’en développant leurs affaires ces entrepreneuses pourraient créer jusqu’à 10% d’emplois supplémentaires », fait noter la BAD.
«Les utilisatrices de la plateforme seront amenées à en apprendre davantage leurs droits sur les moyens d’obtenir des financements privés» a indiqué le responsable du pilotage du projet à la BAD, Jack Salieu.
Dans les pays cibles, le taux d’accès des femmes entrepreneurs aux prêts bancaires pourrait ainsi passer de 4% à 10% d’ici 2022.
Source: Lemagazinedumanager.com
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