A la barre, c’est en costume-cravate que se présente le directeur de publication du Figaro du Mali. A ses côtés, dans une salle pleine à craquer du tribunal de la commune I de Bamako, l’un de ses avocats, maître Assane Diop. Ce dernier soulève des exceptions. Il demande au président du tribunal de déclarer nulle la procédure.
Plus d’une heure de débats, les avocats des deux parties sont pugnaces. Le président du tribunal invite enfin tout le monde à rentrer dans le fond du dossier. Le journaliste prend alors la parole. Il maintient ses informations et réfute avoir diffamé le président de l’Assemblée nationale qui a porté plainte. Les avocats du plaignant demandent au journaliste d’apporter la preuve que leur client a été effectivement surpris en flagrant délit d’adultère dans son bureau.
Son avocat a demandé un report du procès, le temps de citer des témoins explique maître Assane Diop à la fin de l’audience : « Nous avons décidé, on est contraints, de dévoiler la source de notre information, même si nous savons que la source du journaliste est protégée par la loi et nous avons demandé à ce que des témoins comparaissent pour être confrontés aux personnes concernées ».
Le procès reprendra la semaine prochaine avec probablement des rebondissements.
Plus d’une heure de débats, les avocats des deux parties sont pugnaces. Le président du tribunal invite enfin tout le monde à rentrer dans le fond du dossier. Le journaliste prend alors la parole. Il maintient ses informations et réfute avoir diffamé le président de l’Assemblée nationale qui a porté plainte. Les avocats du plaignant demandent au journaliste d’apporter la preuve que leur client a été effectivement surpris en flagrant délit d’adultère dans son bureau.
Son avocat a demandé un report du procès, le temps de citer des témoins explique maître Assane Diop à la fin de l’audience : « Nous avons décidé, on est contraints, de dévoiler la source de notre information, même si nous savons que la source du journaliste est protégée par la loi et nous avons demandé à ce que des témoins comparaissent pour être confrontés aux personnes concernées ».
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