Le procès à Ndjamena de trois militants tchadiens arrêtés début avril et détenus arbitrairement pendant plusieurs jours a abouti à une mise en délibéré du jugement pour deux d'entre eux et à une relaxe pour le troisième. Le procureur a requis cinq ans de prison ferme et le verdict du tribunal de grande instance de la capitale est attendu le 4 mai pour Nadjo Kaïna et Bertrand Sollo tandis que M. Dingamnayal Nely Versinis a été relaxé pour « infraction non constituée ».
Ce n’est pas la première fois que nous avons l’impression que les instances judiciaires sont utilisées afin de valider une situation de forgeture.
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