
Le ministère de la Justice est sorti de sa réserve suite aux attaques des acteurs politiques contre les magistrats et le fonctionnement de cette institution. Les services de Me Malick Sall ont profité d’un point de presse pour appeler la classe politique au respect des institutions de la République.
« Depuis son accession à la souveraineté internationale, notre pays s'est distingué parmi les nations les plus stables en Afrique et dans le monde. Malgré la survenance, par moments, de tensions politiques sporadiques, il est important de relever que le peuple sénégalais, et la classe politique, en particulier, ont toujours su surmonter les divergences de vues, pour préserver l'essentiel, à savoir cette volonté de vie commune qui a été et qui doit demeurer l'essence et le ciment de notre Nation », a déclaré Yakham Lèye, magistrat et porte-parole du ministère de la Justice.
Pour préserver cet acquis, dit-il, dont tout observateur attentif sait qu’il n'est jamais irréversible pour aucun Etat, on « doit veiller à ce que les instruments de la démocratie ne soient pas utilisés contre la démocratie, en devenant le prétexte à des attaques violentes contre les institutions de la République, les citoyens et leurs biens », a-t-il souligné.
Selon lui, l'exercice de ces droits, constitutionnellement garantis, obéit à un certain nombre de règles auxquelles, aussi bien l’Etat que le citoyen demeurent soumis.
« La loi étant impersonnelle et générale, nul ne saurait s’en affranchir, pour quelque motif que ce soit, au risque de compromettre la paix et la concorde sociales ou de mettre en péril la vie d’honnêtes citoyens et la propriété d’autrui ».
Pour Yakham Lèye nul n'a intérêt à « l'affaiblir, et tous devraient contribuer à la soutenir et la renforcer ».
A l’en croire, la justice ne doit pas être distribuée au gré de surenchères médiatico-politiques où des besoins contingents de quelques personnes, quel que soit le bord ou elles se situent. « Elle doit demeurer intransigeante par rapport aux principes qui la gouvernent. Elle ne cherche ni à plaire, ni à déplaire et ne saurait non plus être intimidée ou distraite ».
Selon le porte-parole du ministère de la justice « l'obéissance à la loi et le respect de l'autorité de l'Etat sont des exigences aussi légitimes que l’est l'exercice des libertés et des droits fondamentaux ».
« Depuis son accession à la souveraineté internationale, notre pays s'est distingué parmi les nations les plus stables en Afrique et dans le monde. Malgré la survenance, par moments, de tensions politiques sporadiques, il est important de relever que le peuple sénégalais, et la classe politique, en particulier, ont toujours su surmonter les divergences de vues, pour préserver l'essentiel, à savoir cette volonté de vie commune qui a été et qui doit demeurer l'essence et le ciment de notre Nation », a déclaré Yakham Lèye, magistrat et porte-parole du ministère de la Justice.
Pour préserver cet acquis, dit-il, dont tout observateur attentif sait qu’il n'est jamais irréversible pour aucun Etat, on « doit veiller à ce que les instruments de la démocratie ne soient pas utilisés contre la démocratie, en devenant le prétexte à des attaques violentes contre les institutions de la République, les citoyens et leurs biens », a-t-il souligné.
Selon lui, l'exercice de ces droits, constitutionnellement garantis, obéit à un certain nombre de règles auxquelles, aussi bien l’Etat que le citoyen demeurent soumis.
« La loi étant impersonnelle et générale, nul ne saurait s’en affranchir, pour quelque motif que ce soit, au risque de compromettre la paix et la concorde sociales ou de mettre en péril la vie d’honnêtes citoyens et la propriété d’autrui ».
Pour Yakham Lèye nul n'a intérêt à « l'affaiblir, et tous devraient contribuer à la soutenir et la renforcer ».
A l’en croire, la justice ne doit pas être distribuée au gré de surenchères médiatico-politiques où des besoins contingents de quelques personnes, quel que soit le bord ou elles se situent. « Elle doit demeurer intransigeante par rapport aux principes qui la gouvernent. Elle ne cherche ni à plaire, ni à déplaire et ne saurait non plus être intimidée ou distraite ».
Selon le porte-parole du ministère de la justice « l'obéissance à la loi et le respect de l'autorité de l'Etat sont des exigences aussi légitimes que l’est l'exercice des libertés et des droits fondamentaux ».
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