A la suite de la publication par le Conseil Constitutionnel de la liste des vingt-et-un (21) candidats ayant passé l’épreuve des parrainages, Alioune TINE (AfrikaJom Center), le Professeur Babacar GUEYE (COSCE), Cheikh Tidiane CISSE (NIETTI ELECTIONS), Rokhiatou GASSAMA (Cadre Reavpol / COSEF), Batoura KANE NIANG (Diplomate), Elimane DIOUF (Confédération des Syndicats Autonomes), Ababacar FALL (Groupe de Recherches et d’Appui-Conseil pour la Démocratie Participative et la Bonne Gouvernance), Nina Penda FAYE (Journaliste Consultante), Abdoulaye Fofana SECK (S2C Le Sénégal A la Croisée des Chemins), Babacar DIAGNE (Conseil Des Entreprises du Sénégal), et Alain AYADOKOUN (CEPPS/NDI) se sont réunis pour exprimer leurs vives préoccupations par rapport à une situation ‘’de précontentieux électoral’’.
Selon eux, cette situation s’exprime par l’absence de dialogue entre tous les acteurs impliqués dans le processus électoral de 2024, la non-exécution des décisions de justice par l’Administration, la méfiance des acteurs politiques envers les Organismes de Gestion des Elections, la qualité du fichier électoral qui fait l’objet de suspicions de la part des acteurs politiques, l’interdiction systématique des manifestations de certains candidats par l’Administration territoriale.
« A moins de dix (10) jours de la publication de la liste finale des candidats retenus pour compétir à l’élection présidentielle du 25 février 2024, il est nécessaire d’anticiper toutes les conséquences de ces dysfonctionnements relevés par le Comité. Le Comité appelle à une concertation et au dialogue pour résoudre par le consensus les contentieux du processus électoral en cours, afin de créer toutes les conditions d’une élection présidentielle, inclusive, crédible, transparente et apaisée le 25 février 2024. Le Comité exprime sa disponibilité à rencontrer tous les acteurs impliqués dans le processus afin de contribuer à une élection présidentielle apaisée », a déclaré dans un communiqué le Comité AD HOC de facilitation.
Selon eux, cette situation s’exprime par l’absence de dialogue entre tous les acteurs impliqués dans le processus électoral de 2024, la non-exécution des décisions de justice par l’Administration, la méfiance des acteurs politiques envers les Organismes de Gestion des Elections, la qualité du fichier électoral qui fait l’objet de suspicions de la part des acteurs politiques, l’interdiction systématique des manifestations de certains candidats par l’Administration territoriale.
« A moins de dix (10) jours de la publication de la liste finale des candidats retenus pour compétir à l’élection présidentielle du 25 février 2024, il est nécessaire d’anticiper toutes les conséquences de ces dysfonctionnements relevés par le Comité. Le Comité appelle à une concertation et au dialogue pour résoudre par le consensus les contentieux du processus électoral en cours, afin de créer toutes les conditions d’une élection présidentielle, inclusive, crédible, transparente et apaisée le 25 février 2024. Le Comité exprime sa disponibilité à rencontrer tous les acteurs impliqués dans le processus afin de contribuer à une élection présidentielle apaisée », a déclaré dans un communiqué le Comité AD HOC de facilitation.
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