
Les fondamentaux de l’économie sénégalaise reste solide, si l’on a croit au ministre délégué, chargé du budget. Birima Mangara relève un taux de croissance annuelle du PIB de plus de -6,6% en moyenne. Il informe que 30 milliards de F Cfa ont été alloués aux bourses sociales avec aussi 90% de taux de réalisation de revues sectorielles.
En marge d’un atelier sur la revue annuelle 2018 organisé ce lundi matin, le ministre en charge du Budget, Birima Mangara informe que la relance des activités industrielles et la vigueur des activités de constructions et des services financiers au Sénégal ont instauré un «regain de dynamisme» en 2017 dans l’économie du pays.
M. Mangara coprésidé avec son collègue en charge du suivi du Plan Sénégal émergent (PSE), Cheikh Kanté, la validation technique du Rapport de la revue annuelle conjointe (RAC 2018) de la politique économique et sociale.
Cette RAC est consacré au bilan des réalisations de l’année 2017. Elle comporte l’analyse de la situation macroéconomique, le bilan de politiques sectorielles par axe stratégiques du PASE et les perspectives et recommandations en vue de lever les contraintes constatées.
Selon le ministre en charge du Budget, «la situation macroéconomique s’est nettement améliorée poursuivant sa bonne tendance entamée depuis la mise en œuvre du PSE en 2014».
«Ces résultats ont permis de placer le Sénégal parmi les pays à croissance rapide d’Afrique subsaharienne», a-t-il dit.
«Le taux de croissance a atteint 7,2% en 2017, reflétant une performance remarquable à la faveur des efforts consentis par l’Etat du Sénégal pour assurer la qualité des investissements publiques et une maitrise des dépenses courantes», a-t-il indiqué.
Selon lui, le rapport montre que «l’entreprise sénégalaise est dans un dynamisme de transformation accéléré».
La valeur ajoutée du sous-secteur agricole est passée de 1020 milliards de francs CFA en 2016, à 1127 milliards de FCFA en 2017, soit une hausse de 10,4% dépassant ainsi le taux de croissance du PIB, selon le rapport.
En marge d’un atelier sur la revue annuelle 2018 organisé ce lundi matin, le ministre en charge du Budget, Birima Mangara informe que la relance des activités industrielles et la vigueur des activités de constructions et des services financiers au Sénégal ont instauré un «regain de dynamisme» en 2017 dans l’économie du pays.
M. Mangara coprésidé avec son collègue en charge du suivi du Plan Sénégal émergent (PSE), Cheikh Kanté, la validation technique du Rapport de la revue annuelle conjointe (RAC 2018) de la politique économique et sociale.
Cette RAC est consacré au bilan des réalisations de l’année 2017. Elle comporte l’analyse de la situation macroéconomique, le bilan de politiques sectorielles par axe stratégiques du PASE et les perspectives et recommandations en vue de lever les contraintes constatées.
Selon le ministre en charge du Budget, «la situation macroéconomique s’est nettement améliorée poursuivant sa bonne tendance entamée depuis la mise en œuvre du PSE en 2014».
«Ces résultats ont permis de placer le Sénégal parmi les pays à croissance rapide d’Afrique subsaharienne», a-t-il dit.
«Le taux de croissance a atteint 7,2% en 2017, reflétant une performance remarquable à la faveur des efforts consentis par l’Etat du Sénégal pour assurer la qualité des investissements publiques et une maitrise des dépenses courantes», a-t-il indiqué.
Selon lui, le rapport montre que «l’entreprise sénégalaise est dans un dynamisme de transformation accéléré».
La valeur ajoutée du sous-secteur agricole est passée de 1020 milliards de francs CFA en 2016, à 1127 milliards de FCFA en 2017, soit une hausse de 10,4% dépassant ainsi le taux de croissance du PIB, selon le rapport.
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