Le nouveau réseau social Threads, lancé par le géant américain Meta pour rivaliser avec Twitter, poursuit jeudi un démarrage en trombe avec plus de dix millions d’utilisateurs dès ses premières heures mais son déploiement en Europe est retardé pour des raisons réglementaires.
«Allons-y. Bienvenue sur Threads», a écrit le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, sur son compte Threads, un message qui a recueilli plusieurs milliers de «likes» en quelques minutes, signe du démarrage en trombe de ce nouveau venu des réseaux sociaux.
«L’app de conversations écrites d’Instagram.» Voilà la description de Threads (fils en anglais) sur l’Apple Store.
«Nous espérons que (Threads) puisse être une plateforme ouverte et accueillante pour les discussions», a écrit le patron d’Instagram, Adam Mosseri. «Si c’est aussi ce que vous voulez, le meilleur moyen, c’est d’être bienveillant.»
M. Mosseri a regretté que le déploiement de Threads en Europe soit repoussé, expliquant que si Meta avait dû attendre l’aval de Bruxelles, la mise en ligne aurait elle aussi attendu de nombreux mois.
«J’étais inquiet de voir notre fenêtre se fermer, parce que le timing est important», a-t-il justifié auprès du site spécialisé Platformer.
Toujours est-il qu’en sept heures d’existence, Threads avait atteint la barre des dix millions d’inscriptions, selon un post de Mark Zuckerberg sur son compte officiel.
«Allons-y. Bienvenue sur Threads», a écrit le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, sur son compte Threads, un message qui a recueilli plusieurs milliers de «likes» en quelques minutes, signe du démarrage en trombe de ce nouveau venu des réseaux sociaux.
«L’app de conversations écrites d’Instagram.» Voilà la description de Threads (fils en anglais) sur l’Apple Store.
«Nous espérons que (Threads) puisse être une plateforme ouverte et accueillante pour les discussions», a écrit le patron d’Instagram, Adam Mosseri. «Si c’est aussi ce que vous voulez, le meilleur moyen, c’est d’être bienveillant.»
M. Mosseri a regretté que le déploiement de Threads en Europe soit repoussé, expliquant que si Meta avait dû attendre l’aval de Bruxelles, la mise en ligne aurait elle aussi attendu de nombreux mois.
«J’étais inquiet de voir notre fenêtre se fermer, parce que le timing est important», a-t-il justifié auprès du site spécialisé Platformer.
Toujours est-il qu’en sept heures d’existence, Threads avait atteint la barre des dix millions d’inscriptions, selon un post de Mark Zuckerberg sur son compte officiel.