La dynamique des populations dans toute la planification du développement et la nécessité de « garder la petite fille, y compris les filles mariées et jeunes filles enceintes, à l’école à tous les niveaux de l’éducation, sans discrimination», c’est la lutte des Réseaux des parlementaires en population et Développement (RPPD) qui se sont réunis en Conférence Internationale ce matin.
En effet, la déclaration d’engagement des parlementaires lors de la Conférence de Stockolm, fait que ces derniers doivent concevoir des politiques et programmes qui mobilisent la dividende démographique en renforçant les capacités des jeunes.
Pour ce faire, lutter contre les mariages précoces, devient une chose primordiale. Car, apprend-t-on du directeur Régional: «La région d’Afrique de l’Ouest et du centre compte plus de 100 000 femmes mourant chaque année des suites de complications liées à la grossesse ou à l’accouchement».
Et, poursuit-il: «Il est triste de constater que la majorité des cas de décès qui frappent nos jeunes filles, sont parmi les grossesses adolescentes où les risques de complications sont les plus élevés».
A en croire Mabingue Ngom, bien que plusieurs pays aient récemment votée des lois en faveur de l’interdiction des mariages précoces, la liste des pratiques qui empêchent les filles de réaliser leur plein potentiel reste longue, trop longue.
Venue présider la rencontre, la 1ère Vice-présidente de l’Assemblée nationale, Awa Guèye d’informer que le Sénégal renouvelle sa disponibilité d’appuyer les RPPD dans sa quête des solutions de problèmes dont des jeunes sont confrontés.
En effet, la déclaration d’engagement des parlementaires lors de la Conférence de Stockolm, fait que ces derniers doivent concevoir des politiques et programmes qui mobilisent la dividende démographique en renforçant les capacités des jeunes.
Pour ce faire, lutter contre les mariages précoces, devient une chose primordiale. Car, apprend-t-on du directeur Régional: «La région d’Afrique de l’Ouest et du centre compte plus de 100 000 femmes mourant chaque année des suites de complications liées à la grossesse ou à l’accouchement».
Et, poursuit-il: «Il est triste de constater que la majorité des cas de décès qui frappent nos jeunes filles, sont parmi les grossesses adolescentes où les risques de complications sont les plus élevés».
A en croire Mabingue Ngom, bien que plusieurs pays aient récemment votée des lois en faveur de l’interdiction des mariages précoces, la liste des pratiques qui empêchent les filles de réaliser leur plein potentiel reste longue, trop longue.
Venue présider la rencontre, la 1ère Vice-présidente de l’Assemblée nationale, Awa Guèye d’informer que le Sénégal renouvelle sa disponibilité d’appuyer les RPPD dans sa quête des solutions de problèmes dont des jeunes sont confrontés.