« C’est la désolation totale dans le niombato, c’est encore pire hier soir, l’un des présidents de communauté rurale me disait à l’heure où on fait les décomptes, il y avait pratiquement 200 hectares de terre cultivée qui sont sous les eaux et deux barrages qui ont cédé », déplore ce dernier qui constate toujours les dégâts
« Ce qui se passe ici est extraordinaire c’est terrible. Il faut le voir pour le savoir. Vous avez vu la route, elle est complètement coupée par les eaux », sur les ondes de la Rfm où le porte parole du gouvernement en visite dans la zone hier souligne la nécessité d’un « fonds de calamité » pour ce genre de situation.