En terre Mauritanienne depuis ce jeudi, Oumar Guèye doit rencontrer aujourd’hui, son homologue mauritanien, Nani Should Ougra pour pouvoir trouver une solution définitive à la situation des pêcheurs sénégalais, sommés de rentrer dans leur pays .
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«Le problème, ce ne sont pas les licences. Ce sont des pêcheurs qui sont là, en Mauritanie depuis très longtemps et qui travaillaient avec des pirogues immatriculées en Mauritanie aux noms de ceux avec qui ils travaillent», a informé le ministre de la Pêche et de l'Economie maritime.
Et de poursuivre: «Au plan juridique, ces pirogues appartiennent aux Mauritaniens mais les pêcheurs sénégalais disent que ces pirogues leurs appartiennent; les Mauritaniens ont juste accepté qu’on les immatricule à leur nom».
«Nous leur avons suggéré de voir avec ces personnes privées sur quoi, ils seront d’accord. Et nous, nous les aiderons à pouvoir renter tranquillement», a proposé Oumar Gueye.
Seulement, «ils nous parlent de plus de 4 300 pirogues qui ne sont pas immatriculées au Sénégal donc qui sont des pirogues mauritaniennes», a-t-il déploré.
Les négociations se poursuivent.
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«Le problème, ce ne sont pas les licences. Ce sont des pêcheurs qui sont là, en Mauritanie depuis très longtemps et qui travaillaient avec des pirogues immatriculées en Mauritanie aux noms de ceux avec qui ils travaillent», a informé le ministre de la Pêche et de l'Economie maritime.
Et de poursuivre: «Au plan juridique, ces pirogues appartiennent aux Mauritaniens mais les pêcheurs sénégalais disent que ces pirogues leurs appartiennent; les Mauritaniens ont juste accepté qu’on les immatricule à leur nom».
«Nous leur avons suggéré de voir avec ces personnes privées sur quoi, ils seront d’accord. Et nous, nous les aiderons à pouvoir renter tranquillement», a proposé Oumar Gueye.
Seulement, «ils nous parlent de plus de 4 300 pirogues qui ne sont pas immatriculées au Sénégal donc qui sont des pirogues mauritaniennes», a-t-il déploré.
Les négociations se poursuivent.