Les 11 chefs d’Etats présents hier, lors du 50ième sommet de la CEDEAO se sont penchés sur la crise gambienne. En effet, les dirigeants de la sous-région ouest-africaine, face à la position de Yaya Jammeh qui refuse de céder le fauteuil de Président de la Gambie à Adama Barrow, ont montré leur ferme intention de ne pas le laisser faire.
Et dans leur communiqué final, ils ont réaffirmé leur volonté de «prendre tous les moyens nécessaires pour faire appliquer le résultat du 1er décembre ».
N’empêche, ils ne se sont limité qu’à lancer un appel à Yaya Jammeh «à accepter le résultat du scrutin et à s'abstenir de toute action susceptible de mettre en danger la transition et un transfert pacifique du pouvoir au président élu ».
Et ce, malgré la position de la présidente en exercice de la CEDEAO, la Libérienne Ellen Johnson Sirleaf, qui avait fait savoir qu’ «Il est désormais important que la CEDEAO, lors de ce sommet, envisage des mesures à préconiser afin de résoudre ce problème avec succès avant le 19 janvier, date constitutionnelle à laquelle le quinquennat du président se termine ».
Cependant, Muhammadou Buhari (Nigéria) et John Dramani Mahama (Ghana) ont été choisis pour jouer les médiateurs et tenter de ramener le Président Jammeh à de meilleurs sentiments.
Et dans leur communiqué final, ils ont réaffirmé leur volonté de «prendre tous les moyens nécessaires pour faire appliquer le résultat du 1er décembre ».
N’empêche, ils ne se sont limité qu’à lancer un appel à Yaya Jammeh «à accepter le résultat du scrutin et à s'abstenir de toute action susceptible de mettre en danger la transition et un transfert pacifique du pouvoir au président élu ».
Et ce, malgré la position de la présidente en exercice de la CEDEAO, la Libérienne Ellen Johnson Sirleaf, qui avait fait savoir qu’ «Il est désormais important que la CEDEAO, lors de ce sommet, envisage des mesures à préconiser afin de résoudre ce problème avec succès avant le 19 janvier, date constitutionnelle à laquelle le quinquennat du président se termine ».
Cependant, Muhammadou Buhari (Nigéria) et John Dramani Mahama (Ghana) ont été choisis pour jouer les médiateurs et tenter de ramener le Président Jammeh à de meilleurs sentiments.