François Hollande (à droite) et Idriss Déby, le 5 décembre 2012 à Paris.
Roulement de tambour et musique de la Garde républicaine. Il est 15 heures lorsque la limousine du président Idriss Déby pénètre dans la cour du palais de l'Elysée.
Sous une pluie fine, le chef de l'Etat tchadien passe la Garde en revue, et est accueilli par son homologue François Hollande. Longue poignée de main entre les deux hommes, qui s'entretiennent ensuite pendant une heure.
Dès sa sortie, le chef de l'Etat tchadien dénonce la « confusion totale » qui entoure l'éventuel déploiement d'une force internationale au nord du Mali.
Idriss Déby, Président de la République du Tchad
Il faudra aussi que les Maliens nous disent ce qu'ils veulent, que la Cédéao nous dise quelle démarche, quelle feuille de route... Il y a une confusion totale
Sous une pluie fine, le chef de l'Etat tchadien passe la Garde en revue, et est accueilli par son homologue François Hollande. Longue poignée de main entre les deux hommes, qui s'entretiennent ensuite pendant une heure.
Dès sa sortie, le chef de l'Etat tchadien dénonce la « confusion totale » qui entoure l'éventuel déploiement d'une force internationale au nord du Mali.
Idriss Déby, Président de la République du Tchad
Il faudra aussi que les Maliens nous disent ce qu'ils veulent, que la Cédéao nous dise quelle démarche, quelle feuille de route... Il y a une confusion totale