Le placement en garde à vue de Pape Mahawa Diouf, porte-parole adjoint de l’Alliance pour la République (APR), suscite la colère au sein de son parti. Dans une déclaration, Papa Malick Ndour a dénoncé une décision « profondément injuste », estimant qu’elle repose uniquement « sur de simples allégations de diffusion de fausses nouvelles ».
« S’il existe une vraie nouvelle concernant le dossier de l’ASER, il appartient au procureur du parquet financier d’ouvrir une enquête transparente afin de nous en informer », a-t-il souligné, regrettant que la procédure engagée contre son camarade se fonde, selon lui, sur des bases fragiles.
Le responsable de l’APR a également accusé le pouvoir en place d’entretenir un climat judiciaire marqué par un « deux poids, deux mesures ». « Pendant ce temps, Pastef, ses militants et sa horde de wazalendos se livrent, à longueur de journée, à la propagation de fausses informations sans jamais être véritablement inquiétés, révélant ainsi un deux poids, deux mesures qui fragilise l’État de droit et la crédibilité de nos institutions », a-t-il déclaré.
Face à cette situation, Papa Malick Ndour a lancé un appel pressant à la justice pour « la libération immédiate de notre camarade Pape Mahawa Diouf ». Il a insisté sur la nécessité, selon lui, pour les autorités judiciaires de « faire preuve d’impartialité, de justice et de responsabilité dans le traitement des dossiers judiciaires ».
« S’il existe une vraie nouvelle concernant le dossier de l’ASER, il appartient au procureur du parquet financier d’ouvrir une enquête transparente afin de nous en informer », a-t-il souligné, regrettant que la procédure engagée contre son camarade se fonde, selon lui, sur des bases fragiles.
Le responsable de l’APR a également accusé le pouvoir en place d’entretenir un climat judiciaire marqué par un « deux poids, deux mesures ». « Pendant ce temps, Pastef, ses militants et sa horde de wazalendos se livrent, à longueur de journée, à la propagation de fausses informations sans jamais être véritablement inquiétés, révélant ainsi un deux poids, deux mesures qui fragilise l’État de droit et la crédibilité de nos institutions », a-t-il déclaré.
Face à cette situation, Papa Malick Ndour a lancé un appel pressant à la justice pour « la libération immédiate de notre camarade Pape Mahawa Diouf ». Il a insisté sur la nécessité, selon lui, pour les autorités judiciaires de « faire preuve d’impartialité, de justice et de responsabilité dans le traitement des dossiers judiciaires ».