Le ministre des forces armées ancien Directeur exécutif de l'ANOCI était sur les ondes de la RFM pour les besoins du débat du jour dans le grand journal. Interrogé son éventuelle interpellation par la justice, il répond:"je ne vois pas ce que je vais dire à la Justice parce que je ne suis pas concerné, ça ne concernait nullement pas l’ANOCI., ni Karim Wade ni moi-même n’avions été membres de cette commission» avant d'ajouter que :«la somme d’argent qui été agitée n’a jamais été remise à l’ANOCI en tant que structure qui a été régie par un décret en 2004». Pour explications l'ancien Directeur exécutif de l'ANOCI précise:"encore que ce n’est pas de l’argent mais un appui logistique dont l’ARTP détient par ailleurs les factures ».
Selon Abdoulaye Baldé :«à deux mois de l’organisation de la Conférence islamique il y' avait une commission nationale chargée de l'organisation qui regroupait plusieurs ministères, plusieurs agences, plusieurs structures du secteur privé avec plusieurs sous-commissions. Et chacune de ces commissions avait présenté un budget et avait trouvé un certain nombre de partenaires».
"C’est dans ce cadre que la commission qui était chargée de la communication et des TIC avait sollicité un certain nombre de travaux et l’ARTP avait fait un appui à cette structure" a souligné le ministre des Forces armées.
Pour conclure Abdoulaye Baldé affirme:" je ne vois pas comment un membre de l’ANOCI pourrait être cité dans cette affaire ».
Selon Abdoulaye Baldé :«à deux mois de l’organisation de la Conférence islamique il y' avait une commission nationale chargée de l'organisation qui regroupait plusieurs ministères, plusieurs agences, plusieurs structures du secteur privé avec plusieurs sous-commissions. Et chacune de ces commissions avait présenté un budget et avait trouvé un certain nombre de partenaires».
"C’est dans ce cadre que la commission qui était chargée de la communication et des TIC avait sollicité un certain nombre de travaux et l’ARTP avait fait un appui à cette structure" a souligné le ministre des Forces armées.
Pour conclure Abdoulaye Baldé affirme:" je ne vois pas comment un membre de l’ANOCI pourrait être cité dans cette affaire ».