Interpelé par de nombreux députés sur la date de la tenue du référendum pour la réduction du mandat du président de la République de 7 à 5 ans, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo s’est refusé à s’avancer sur le sujet.
En effet, préférant renvoyer la balle dans le camp du chef de l’Etat, Abdoulaye Daouda Diallo déclare : «Je crois que moi, je ne peux pas parler de ce calendrier. Je ne peux pas me lancer des suppositions. Les intentions sont là, mais pour le moment, ce dont je dispose, dans le calendrier républicain est une élection législative qui doit avoir lieu en juin 2017, et nous nous y préparons».
Poursuivant sur sa lancée, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique annonce sur un ton beaucoup plus nuancé : «En principe, devront suivre les élections présidentielle, départementale et communale prévues pour 2019. D’ici là, s’il y a une disposition nouvelle, une décision nouvelle, il n’y a aucun problème à notre niveau».
Néanmoins, le premier flic du Sénégal est d’avis que s’il était décidé de la tenue d’un référendum, ses services seraient enclins à l’organiser dans les plus brefs délais : «Techniquement, nous n’avons aucun problème pour pouvoir répondre à cette nouvelle sollicitation. Si c’est décidé, on le fera. Moi, ce que je peux dire, c’est qu’il n’y a pour le moment que les élections législatives de 2017. Si on doit organiser un référendum, on le fera, parce qu’un référendum est l’élection la plus facile à organiser».
En effet, préférant renvoyer la balle dans le camp du chef de l’Etat, Abdoulaye Daouda Diallo déclare : «Je crois que moi, je ne peux pas parler de ce calendrier. Je ne peux pas me lancer des suppositions. Les intentions sont là, mais pour le moment, ce dont je dispose, dans le calendrier républicain est une élection législative qui doit avoir lieu en juin 2017, et nous nous y préparons».
Poursuivant sur sa lancée, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique annonce sur un ton beaucoup plus nuancé : «En principe, devront suivre les élections présidentielle, départementale et communale prévues pour 2019. D’ici là, s’il y a une disposition nouvelle, une décision nouvelle, il n’y a aucun problème à notre niveau».
Néanmoins, le premier flic du Sénégal est d’avis que s’il était décidé de la tenue d’un référendum, ses services seraient enclins à l’organiser dans les plus brefs délais : «Techniquement, nous n’avons aucun problème pour pouvoir répondre à cette nouvelle sollicitation. Si c’est décidé, on le fera. Moi, ce que je peux dire, c’est qu’il n’y a pour le moment que les élections législatives de 2017. Si on doit organiser un référendum, on le fera, parce qu’un référendum est l’élection la plus facile à organiser».