Le mystère se lève sur la somme de 1,3 milliards FCFA découverte dans les comptes de Karim Wade dans une banque de Monaco. Cette somme représente le reste d’un don que le roi d’Arabie Saoudite avait fait à l’ancien chef de l’Etat, Me Wade. A ce moment, le roi avait mis à sa disposition la somme de 10 millions de dollars (5 milliards de FCFA). Mais Me Wade avait demandé à son bienfaiteur de virer l’argent dans le compte de son fils, Karim Wade. C’est ainsi que le roi avait mis le fils de Wade en rapport avec son conseiller financier pour la finalisation de l’opération.
Karim Wade donne les références de son compte ouvert dans une banque sise aux Etats-Unis pour le virement du don. Ce qui fut fait. Seulement, quelque temps après, Karim Wade fait migrer les fonds des Etats-Unis à Monaco. D’ailleurs, ce n’est qu’après que l’ancien chef de l’Etat a découvert que son fils a utilisé une bonne partie du don du roi d’Arabie Saoudite, sans même l’en informer.
Lorsque les commissions rogatoires ont découvert le reste de l’argent à Monaco, Me Wade a voulu, d’une part, couvrir son fils et, d’autre part, sauver ce qui reste de ses 5 milliards FCFA. C’est pourquoi il a écrit une correspondance officielle à Macky Sall pour lui expliquer l’histoire de l’argent et tout le circuit qu’il a emprunté.
Source : L’observateur
Karim Wade donne les références de son compte ouvert dans une banque sise aux Etats-Unis pour le virement du don. Ce qui fut fait. Seulement, quelque temps après, Karim Wade fait migrer les fonds des Etats-Unis à Monaco. D’ailleurs, ce n’est qu’après que l’ancien chef de l’Etat a découvert que son fils a utilisé une bonne partie du don du roi d’Arabie Saoudite, sans même l’en informer.
Lorsque les commissions rogatoires ont découvert le reste de l’argent à Monaco, Me Wade a voulu, d’une part, couvrir son fils et, d’autre part, sauver ce qui reste de ses 5 milliards FCFA. C’est pourquoi il a écrit une correspondance officielle à Macky Sall pour lui expliquer l’histoire de l’argent et tout le circuit qu’il a emprunté.
Source : L’observateur