«Je m’appelle Mamadou Ardo Sow. Je suis âgé de 26 ans, originaire de Tassette dans la région de Thiès. Nous avons quitté Touba vers 19 heures en partance pour le marché hebdomadaire de Diaobé. Il y avait 73 passagers assis et 5 debout». Ces propos sont du troisième chauffeur du bus qui est entré en collision avec un camion, faisant 13 morts dont certains, complètement calcinés.
Continuant son sinistre récit, Mr Sow déclare : «A la sortie de Missirah, le premier chauffeur a cédé sa place au deuxième. Après 30 kilomètres de conduites, nous avons aperçu un camion frigorifique. Nous lui avons fait un appel de phare à trois reprises, il a refusé de céder le passage. C’est ainsi qu’il y a eu le choc frontal qui était inévitable, compte tenu de la vitesse à laquelle les deux véhicules roulaient ».
Selon lui, l’incendie serait provoqué par le fait que le camion frigorifique avait du gaz à son bord. Mais, ce qui est avéré, c’est qu’il y a eu 13 morts. Et, informe le chauffeur, certains corps étaient «complètement calcinés et réduits en cendres».
Continuant son sinistre récit, Mr Sow déclare : «A la sortie de Missirah, le premier chauffeur a cédé sa place au deuxième. Après 30 kilomètres de conduites, nous avons aperçu un camion frigorifique. Nous lui avons fait un appel de phare à trois reprises, il a refusé de céder le passage. C’est ainsi qu’il y a eu le choc frontal qui était inévitable, compte tenu de la vitesse à laquelle les deux véhicules roulaient ».
Selon lui, l’incendie serait provoqué par le fait que le camion frigorifique avait du gaz à son bord. Mais, ce qui est avéré, c’est qu’il y a eu 13 morts. Et, informe le chauffeur, certains corps étaient «complètement calcinés et réduits en cendres».