La première étape intervient avant le 27 juillet 2025 : la RDC et le Rwanda doivent mettre en place un « mécanisme conjoint de coordination ». Ce mécanisme travaillera avec un comité de surveillance commun qui réunit aussi l’Union africaine (UA), les États-Unis et le Qatar. Sa première réunion doit avoir lieu au plus tard le 11 août.
Sur le terrain, il y a deux priorités : la neutralisation des FDLR et le retrait des mesures défensives mises en place par le Rwanda. Ces actions doivent être réalisées en quatre mois, en plusieurs étapes. D’abord, une phase de préparation de quinze jours pour analyser la menace, localiser les FDLR et partager les informations entre les parties.
Trois mois pour neutraliser les FDLR
Ensuite, place aux opérations : trois mois pour neutraliser les FDLR et lever les dispositifs militaires côté rwandais. Selon nos informations, une opération conjointe FARDC-RDF n’est pas exclue. Mais elle devra être décidée conjointement par les deux pays.
Enfin, sur le plan économique, un autre chantier est prévu. D’ici au 27 septembre, un cadre d’intégration économique régionale doit être lancé. L'objectif est de renforcer la coopération sur les ressources naturelles, le commerce et les investissements transfrontaliers.
Sur le terrain, il y a deux priorités : la neutralisation des FDLR et le retrait des mesures défensives mises en place par le Rwanda. Ces actions doivent être réalisées en quatre mois, en plusieurs étapes. D’abord, une phase de préparation de quinze jours pour analyser la menace, localiser les FDLR et partager les informations entre les parties.
Trois mois pour neutraliser les FDLR
Ensuite, place aux opérations : trois mois pour neutraliser les FDLR et lever les dispositifs militaires côté rwandais. Selon nos informations, une opération conjointe FARDC-RDF n’est pas exclue. Mais elle devra être décidée conjointement par les deux pays.
Enfin, sur le plan économique, un autre chantier est prévu. D’ici au 27 septembre, un cadre d’intégration économique régionale doit être lancé. L'objectif est de renforcer la coopération sur les ressources naturelles, le commerce et les investissements transfrontaliers.