«Suite à mon intervention au Grand Jury qui a réveillé des urticaires chroniques, un scénario, qui relève d’un magma de mélodrame et de ruse, a été très vite conçu et déroulé, avec des partenaires, dans le cadre d’un référentiel moral qui ne saurait être le mien. Je m’interdis donc de polémiquer avec des gens qui ne peuvent pas parler le même langage que moi, celui de la stricte vérité, qui ne saurait être en porte-à-faux avec la pédagogie. Pour ceux-là qui feignent de l’ignorer, la pédagogie est une science reconnue d’utilité publique, elle forge les bases de la connaissance et d’une personnalité structurée», a soutenu Bouna Mohamed Seck qui réagissait à la sommation interpellative que Malick Gackou lui a adressée.
M. Seck de marteler : «C’est la raison pour laquelle, j’ai répondu exactement ce qui suit à la sommation interpellative de ceux qui parlent de courage alors qu’ils se battent toujours par procuration ou dans la pénombre : ‘’Oui, je confirme ces propos fragmentés. En ma qualité de pédagogue, je les ai prononcés et je les assume comme approche pédagogique pour protéger mon pays et notre démocratie’’. A cet égard, que nul ne se méprenne sur ma détermination immarcescible. Cela dit, je refuse de me laisser entraîner dans la fange, que je laisse à ceux qui ont l’habitude d’y patauger. Et je le répète à l’endroit des Patriotes, toutes tendances confondues : soyons vigilants !»
M. Seck de marteler : «C’est la raison pour laquelle, j’ai répondu exactement ce qui suit à la sommation interpellative de ceux qui parlent de courage alors qu’ils se battent toujours par procuration ou dans la pénombre : ‘’Oui, je confirme ces propos fragmentés. En ma qualité de pédagogue, je les ai prononcés et je les assume comme approche pédagogique pour protéger mon pays et notre démocratie’’. A cet égard, que nul ne se méprenne sur ma détermination immarcescible. Cela dit, je refuse de me laisser entraîner dans la fange, que je laisse à ceux qui ont l’habitude d’y patauger. Et je le répète à l’endroit des Patriotes, toutes tendances confondues : soyons vigilants !»