voir la justice faire son travail, «Que Me Ousmane Ngom apporte les preuves de ses accusations. C’est au nom de ce souhait que Doudou Wade du Parti démocratique sénégalais (Pds) a écrit au ministre de la Justice Me Sidiki Kaba. Ancien président de groupe à l’Assemblée nationale, Doudou Wade souhaite que la justice face son travail afin que l’ancien ministre de l’Intérieur dise quels sont les opposants qui ont des liens avec des organisations jihadistes.
Selon lui, «Ousmane Ngom parle en homme d’honneur. Il sait de quoi il parle», a dit Doudou Wade dans un entretien accordé à la radio Walf fm. En effet pour l’ancien président de groupe à l’Assemblée nationale, la question n’est pas de porter plainte ou pas. «Il s’agit d’un problème de sécurité nationale. Donc, la justice doit faire le travail afin que Me Ousmane Ngom dise quels sont ces responsables qui ont des liens avec des jihadistes», précise-t-il.
Rappeler qu'à la veille du référendum du 20 mars dernier, Me Ousmane Ngom, ancien ministre de l’Intérieur, a fait une sortie dans la presse accusant des responsables du front du «Non» d’avoir des liens avec des organisations jihadistes. Si certains leaders ont minimisé cette sortie, d’autres comme Pape Diop, président de Convergence démocratique Bokk Gis Gis, ont demandé au procureur de s’autosaisir de cette affaire pour que la lumière soit faite.
Selon lui, «Ousmane Ngom parle en homme d’honneur. Il sait de quoi il parle», a dit Doudou Wade dans un entretien accordé à la radio Walf fm. En effet pour l’ancien président de groupe à l’Assemblée nationale, la question n’est pas de porter plainte ou pas. «Il s’agit d’un problème de sécurité nationale. Donc, la justice doit faire le travail afin que Me Ousmane Ngom dise quels sont ces responsables qui ont des liens avec des jihadistes», précise-t-il.
Rappeler qu'à la veille du référendum du 20 mars dernier, Me Ousmane Ngom, ancien ministre de l’Intérieur, a fait une sortie dans la presse accusant des responsables du front du «Non» d’avoir des liens avec des organisations jihadistes. Si certains leaders ont minimisé cette sortie, d’autres comme Pape Diop, président de Convergence démocratique Bokk Gis Gis, ont demandé au procureur de s’autosaisir de cette affaire pour que la lumière soit faite.