C’est dans une chambre qui sert d’atelier à un jeune tailleur que deux hommes, B. Diouf (agent d’administration dans une préfecture de la banlieue) et A. Anne ont été surpris en pleins ébats. C’était dans la nuit du jeudi au vendredi dernier. C’était à 21h30 alors que la plupart des habitants de la maison étaient dehors pour fuir la chaleur, les deux hommes se sont enfermés dans la chambre. Pendant qu’un troisième B. Bah faisait le guet dans la cour de la maison. « Ce jour-là, j’avais décidé de percer le mystère. J’ai voulu savoir pourquoi B. Diouf rejoint les deux hommes dans la chambre et s’enferme avec l’un d’eux. Il est plus âgé que les deux garçons et n’habite pas le quartier », hurle de rage, Nd. G. qui a surpris les deux individus en pleins ébats. Selon ce témoin dans « l’Observateur », « A. Anne (22 ans), tout nu, était courbé pendant que B. Diouf (42 ans), le pantalon baissé jusqu’aux chevilles, le sodomisait».
B. Bah qui a soufflé ses 22 bougies le 29 septembre dernier, dirigeait souvent la prière chez lui, raconte son oncle qui précise : «certes, il était très efféminé mais on pensait qu’il s’agissait juste d’apparence ». A défaut de mettre la main sur les trois présumés homosexuels, les habitants du quartier ont gardé des nuisettes et des ceintures de perles trouvées selon eux dans la chambre.
B. Bah qui a soufflé ses 22 bougies le 29 septembre dernier, dirigeait souvent la prière chez lui, raconte son oncle qui précise : «certes, il était très efféminé mais on pensait qu’il s’agissait juste d’apparence ». A défaut de mettre la main sur les trois présumés homosexuels, les habitants du quartier ont gardé des nuisettes et des ceintures de perles trouvées selon eux dans la chambre.