Mr DIENG demande au Sénégal de respecter cet avis, mais aussi de l’appliquer. Pour lui, « en cas de résistance, les Nations-Unies ont d'autres mécanismes pour contraindre notre pays à respecter cette décision», avertit Adama Dieng. Selon ce haut fonctionnaire international, même si le Groupe de travail n'est pas un tribunal, c'est une instance onusienne qui a son importance. «Le Sénégal étant membre des Nations-Unies est tenu de respecter les décisions relatives à la coopération avec le Groupe de travail», dit-il.
Sinon « il sera sanctionné. Une coopération consacrée par une résolution du conseil des Droits de l'homme des Nations-Unies qui invite tous les Etats membres à coopérer, à tenir compte de ses avis, mais également à prendre les mesures appropriées pour remédier à la situation de personnes privées de liberté et à informer le Groupe de travail des mesures qui auront été prises ». Cette sortie coupe court ainsi à toute la polémique entretenue par le pouvoir sur cet avis.
Sinon « il sera sanctionné. Une coopération consacrée par une résolution du conseil des Droits de l'homme des Nations-Unies qui invite tous les Etats membres à coopérer, à tenir compte de ses avis, mais également à prendre les mesures appropriées pour remédier à la situation de personnes privées de liberté et à informer le Groupe de travail des mesures qui auront été prises ». Cette sortie coupe court ainsi à toute la polémique entretenue par le pouvoir sur cet avis.