Selon un communiqué publié par le collectif des avocats, des "instructions fermes" auraient été données par le Commissaire central pour interdire toute visite à M. Gadiaga, y compris celles de ses conseils juridiques. Les avocats affirment n'avoir aucune information sur l'état ou les conditions de détention de leur client depuis la soirée du vendredi, ce qui accentue leur "plus grande crainte".
Dans leur déclaration, les avocats fustigent un "comportement rétrograde qui n’a pas sa place dans un État de Droit". Ils soulignent que cette situation bafoue plusieurs principes fondamentaux, notamment les droits de la défense, la présomption d'innocence et la dignité humaine.
Pour le collectif, cette interdiction n'est rien de moins qu'une "vaine tentative de museler la Défense". Les avocats rappellent avec force que leur rôle est essentiel à toutes les étapes de la procédure judiciaire et qu'ils ne feront "aucune concession" pour défendre les valeurs de liberté et de dignité."La Défense est absolue à toutes les étapes de la procédure, elle sera toujours debout pour tous", martèle le communiqué, signifiant leur détermination à contester cette décision et à faire valoir les droits de leur client.
Dans leur déclaration, les avocats fustigent un "comportement rétrograde qui n’a pas sa place dans un État de Droit". Ils soulignent que cette situation bafoue plusieurs principes fondamentaux, notamment les droits de la défense, la présomption d'innocence et la dignité humaine.
Pour le collectif, cette interdiction n'est rien de moins qu'une "vaine tentative de museler la Défense". Les avocats rappellent avec force que leur rôle est essentiel à toutes les étapes de la procédure judiciaire et qu'ils ne feront "aucune concession" pour défendre les valeurs de liberté et de dignité."La Défense est absolue à toutes les étapes de la procédure, elle sera toujours debout pour tous", martèle le communiqué, signifiant leur détermination à contester cette décision et à faire valoir les droits de leur client.