"Ce qui dirige notre conduite, c'est dire la vérité. Par exemple, si on nous dit qu'on a convoqué à la DIC, la femme de Bara Gaye qui n'a rien fait, nous disons que cette pratique n'est même pas du moyen-âge, c'est de la barbarie. Ce n'est pas en fonction de Bara Gaye ou de son appartenance politique qu'on le dit mais ou de ce qu'il a fait ou n'a pas fait, on le dit parce que cela ne se fait pas de convoquer à la DIC quelqu'un qui n'a rien fait parce qu'il est lié à quelqu'un qui aurait fait quelque chose. C'est encore une fois de la barbarie", critique le leader de Rewmi prévient des conséquences qui pourraientt en découler.
"Du temps de Jean Collin, quand on me recherchait après les élections de 1988 et qu'on ne m'a pas trouvé, on est allé cherchait ma femme Ndéye Penda Tall. On venait juste d'être mariés. Je suis très bien placé pour connaître les conséquences de tous ces agissements barbares", renseigne-t-il.
Réagitant le mandat de Moustapha Niasse à l'hémicycle, l'ancien premier ministre sous Wade asséne.
"Pour le mandat du président de l'Assemblée Nationale, c'est une question de principe. Tout ce qu'il y avait à dire sur les institutions, sur l'éthique, sur la bonne gouvernance, se trouve sur les conclusions des assises nationales où il a été dit qu'on se débarrasserait de la loi Sada Ndiayeet que le mandat du président serait ramené à cinq ans. Faisons-le" , lâche Idrissa Seck qui précise tout de même, "nous ne le disons pas pour Moustapha Niasse mais pour X ou Y ou Z".
Décidé à oeuvrer pour le développemet de sa ville, Idrissa Seck précise, "tant qu'il me restera un souflle de vie, je le consacrerai au rayonnement et de la ville de Thiès". Ce,jusqu'à la "destination finale qui est le palais de la République".
"Du temps de Jean Collin, quand on me recherchait après les élections de 1988 et qu'on ne m'a pas trouvé, on est allé cherchait ma femme Ndéye Penda Tall. On venait juste d'être mariés. Je suis très bien placé pour connaître les conséquences de tous ces agissements barbares", renseigne-t-il.
Réagitant le mandat de Moustapha Niasse à l'hémicycle, l'ancien premier ministre sous Wade asséne.
"Pour le mandat du président de l'Assemblée Nationale, c'est une question de principe. Tout ce qu'il y avait à dire sur les institutions, sur l'éthique, sur la bonne gouvernance, se trouve sur les conclusions des assises nationales où il a été dit qu'on se débarrasserait de la loi Sada Ndiayeet que le mandat du président serait ramené à cinq ans. Faisons-le" , lâche Idrissa Seck qui précise tout de même, "nous ne le disons pas pour Moustapha Niasse mais pour X ou Y ou Z".
Décidé à oeuvrer pour le développemet de sa ville, Idrissa Seck précise, "tant qu'il me restera un souflle de vie, je le consacrerai au rayonnement et de la ville de Thiès". Ce,jusqu'à la "destination finale qui est le palais de la République".