« Mon père n’a fait que son travail. Il n’a dit que ce qu’il a vu. Mais si on veut lui faire dire ou faire autres choses que ce qu’on lui a chargé de faire, cela n’engage qu’eux. Mais nous de notre côté, nous ferons notre devoir : celui de l’épauler », martèle le leader du groupe Takeïfa et fils du non moins célèbre commissaire Cheikhna Cheikh Saadbou Keïta, l’auteur du rapport du trafic de drogue à l’OCRTIS qu’il dirigeait il y a peu qui a valu au prédécesseur d’Anna Sémou Faye, le commissaire Abdoulaye Niang son fauteuil de Directeur Général de la Police Nationale (DGPN).
Jack qui n’en a pas fini ne manque pas de se prononcer sur la conférence de presse tant attendue que les enfants de l’ex-patron de l’OCRTIS avaient prévue de tenir dès le retour du groupe après plus de trois (3) mois d’absence du territoire national. «Il y avait des commentaires avant même qu’on atterrisse à Dakar, certains journalistes écrivaient du n’importe quoi disant qu’on leur avait accordé une interview alors que c’est faux. Donc, on s’est dit d’annuler le face-à-face avec la presse et de nous donner un peu de temps de repos avant de tenir des propos qui au finish seraient mal interprétés », sur les colonnes du journal « la tribune » où il balaie d’un revers de main la rumeur selon laquelle leur tournée a été entièrement financée par leur père avec l’argent de la drogue.
« Nous sommes des professionnels. Nous sommes bien organisés. Notre père n’a rien fait de financier dans notre travail. Une image, ça se construit. Quand on entend ces genres de choses, on rigole ».
Jack qui n’en a pas fini ne manque pas de se prononcer sur la conférence de presse tant attendue que les enfants de l’ex-patron de l’OCRTIS avaient prévue de tenir dès le retour du groupe après plus de trois (3) mois d’absence du territoire national. «Il y avait des commentaires avant même qu’on atterrisse à Dakar, certains journalistes écrivaient du n’importe quoi disant qu’on leur avait accordé une interview alors que c’est faux. Donc, on s’est dit d’annuler le face-à-face avec la presse et de nous donner un peu de temps de repos avant de tenir des propos qui au finish seraient mal interprétés », sur les colonnes du journal « la tribune » où il balaie d’un revers de main la rumeur selon laquelle leur tournée a été entièrement financée par leur père avec l’argent de la drogue.
« Nous sommes des professionnels. Nous sommes bien organisés. Notre père n’a rien fait de financier dans notre travail. Une image, ça se construit. Quand on entend ces genres de choses, on rigole ».