L’Imam Oumar Diène, Secrétaire général des imams et oulémas du Sénégal est convoqué devant le juge lundi prochain. Depuis le 20 août dernier, il est en détention dans le cadre de l’exécution d’une contrainte par corps de la Sci Galoya.
L'imam Oumar Diène, n’est pas resté les bras croisés. Il multiplie les procédures par l’intermédiaire de ses avocats. Après quatre tentatives juridictionnelles infructueuses devant cette juridiction, les conseils des prévenus ne désarment toujours pas. Les différentes parties vont comparaitre de nouveau, lundi 6 novembre, devant le tribunal des référés.
Seules trois options s’offrent aux avocats du religieux pour sortir de prison. Il s’agit pour l’imam et de l’homme d’affaires de cautionner un montant qui puisse couvrir le montant du préjudice, c’est –à- dire, 360 millions Fcfa, de proposer des maisons ou biens en gage, ou encore de trouver une personne garante en mesure de désintéresser les plaignants.
A cet effet, il s’y ajoute une option subsidiaire qui consiste en la médiation pénale. Une médiation qui ne risque pas d’être acceptée par les plaignants qui courent depuis des années derrières le recouvrement de leur préjudice, en plus d’avoir été semés par l’Imam Oumar Diène qui, mit au parfum de l’exécution de la contrainte par corps, avait pris la clé des champs avant d’être interpellé dix mois plus tard.
L'imam Oumar Diène, n’est pas resté les bras croisés. Il multiplie les procédures par l’intermédiaire de ses avocats. Après quatre tentatives juridictionnelles infructueuses devant cette juridiction, les conseils des prévenus ne désarment toujours pas. Les différentes parties vont comparaitre de nouveau, lundi 6 novembre, devant le tribunal des référés.
Seules trois options s’offrent aux avocats du religieux pour sortir de prison. Il s’agit pour l’imam et de l’homme d’affaires de cautionner un montant qui puisse couvrir le montant du préjudice, c’est –à- dire, 360 millions Fcfa, de proposer des maisons ou biens en gage, ou encore de trouver une personne garante en mesure de désintéresser les plaignants.
A cet effet, il s’y ajoute une option subsidiaire qui consiste en la médiation pénale. Une médiation qui ne risque pas d’être acceptée par les plaignants qui courent depuis des années derrières le recouvrement de leur préjudice, en plus d’avoir été semés par l’Imam Oumar Diène qui, mit au parfum de l’exécution de la contrainte par corps, avait pris la clé des champs avant d’être interpellé dix mois plus tard.