L’ancien député libéral, Omar Sy devra encore patienter avant d’humer l’air de la liberté. Suite à sa mise en liberté provisoire accordée ce lundi par le juge des flagrants délits, le Parquet qui ne s’y était pas opposé a, à la surprise générale, fait un revirement. 24 heures après cette demande accordée par le juge, le Parquet a « curieusement relevé appel de la décision de mise en liberté provisoire », a soufflé au bout du fil un des conseils de la défense à nos confrères de « L’as ».
Une attitude qui vient casser la décision du juge et qui maintient dans la foulée le promoteur immobilier en détention. Une démarche du Parquet jugée toutefois « curieuse » par la même source qui ne voit pas « l’intérêt de cet appel ». « Cette démarche ne conforte-elle pas la thèse d’une instrumentalisation de la justice pour régler des questions politiques ? », s’interroge un des avocats du patron d’EGBOS.
Une attitude qui vient casser la décision du juge et qui maintient dans la foulée le promoteur immobilier en détention. Une démarche du Parquet jugée toutefois « curieuse » par la même source qui ne voit pas « l’intérêt de cet appel ». « Cette démarche ne conforte-elle pas la thèse d’une instrumentalisation de la justice pour régler des questions politiques ? », s’interroge un des avocats du patron d’EGBOS.