Officiellement, le sort de Jacob Zuma n'est pas l'agenda de cette réunion. Mais les anti- Zuma comptent bien se faire entendre et lui demander de démissionner pour le bien de l'ANC. Jamais la contestation n'a été aussi forte. Cette réunion est la première depuis un remaniement ministériel qui a provoqué une vraie crise.
Depuis, trois des six dirigeants du parti ont ouvertement critiqué le chef de l'Etat. La confédération syndicale la Cosatu et le Parti communiste, tous deux alliés historiques du parti, ont demandé sa démission. De même que les vétérans du l'ANC, un groupe de personnalités respectées de la lutte anti-apartheid.
Et pourtant, le président Jacob Zuma va très certainement survivre ce weekend.
Ses partisans - qui représentent plus ou moins la moitié des 104 membres de ce comité exécutif - ont bien l'intention de se battre pour le maintenir à la tête du parti. Le comité exécutif n'a pas les pouvoirs de rappeler le président, argumentent-ils. Pour cela il faudrait un congrès.
En tout cas, le timing est important : de nombreux députés de l’ANC souhaiteraient que le problème Jacob Zuma soit réglé en interne pour ne pas avoir à voter avec l'opposition lors d'une prochaine motion de défiance au Parlement.
Depuis, trois des six dirigeants du parti ont ouvertement critiqué le chef de l'Etat. La confédération syndicale la Cosatu et le Parti communiste, tous deux alliés historiques du parti, ont demandé sa démission. De même que les vétérans du l'ANC, un groupe de personnalités respectées de la lutte anti-apartheid.
Et pourtant, le président Jacob Zuma va très certainement survivre ce weekend.
Ses partisans - qui représentent plus ou moins la moitié des 104 membres de ce comité exécutif - ont bien l'intention de se battre pour le maintenir à la tête du parti. Le comité exécutif n'a pas les pouvoirs de rappeler le président, argumentent-ils. Pour cela il faudrait un congrès.
En tout cas, le timing est important : de nombreux députés de l’ANC souhaiteraient que le problème Jacob Zuma soit réglé en interne pour ne pas avoir à voter avec l'opposition lors d'une prochaine motion de défiance au Parlement.