Jacob Zuma, le président sud-africain, à Davos, le 23 janvier 2013. REUTERS/Pascal Lauener
« Le travail d’un président n’est pas d’autoriser l’atterrissage d’avions, le président gère un gouvernement, a expliqué Jacob Zuma. Il ne s’occupe pas de tout ce qui est opérationnel. N’importe quel atterrissage, dans n’importe quel aéroport, n’a rien à voir avec le président. J’ai déjà répondu à cette question. Je ne suis pas au courant, je ne sais rien de cette affaire et je ne peux pas répondre à la place d’un officier qui se trouve devant une cour militaire. Ca ne me regarde pas ».